1. A bas les préjugés !


    Datte: 02/02/2019, Catégories: fh, hh, fhh, cadeau, cocus, voisins, amour, Oral 69, pénétratio, hsodo, confession,

    ... gobée par une bouche avide ? Qui refuserait que des mains féminines se plaquent contre ses fesses pour mieux contrôler la fellation ? C’est une démonstration parfaite : – D’abord, que la bite alanguie retrouve sa vigueur si rapidement. – Aussi, que ma femme y mette toute son énergie dans le but de me réveiller. – Que sa langue lèche le bâton sur toute sa longueur. – Que ses lèvres gobent ce qu’elle a réveillé. Moi, je regarde. C’est beau, une pipe. Encore plus beau qu’une possession. La bite a retrouvé sa vigueur. Les couilles gonflent. En plus, le couple se place parfaitement pour que je profite du spectacle. Mieux, ma femme me regarde du coin de l’œil, m’offrant un regard qui ne montre pas seulement un exercice de séduction. Du vice dans ses yeux. Céline prend manifestement goût à ce que je sois présent. Pire, c’est elle qui va chercher ma main pour la mettre contre les bourses qu’elle vient de gober et enduire de salive. Cette fois-ci je sens une érection. Tous les regards sont centrés sur ma queue. C’est elle la vedette. — Céline, laisses-en un peu pour Charles. Tu veux goûter ? C’est Xavier qui vient de se retirer de la gorge qui le pompait et pousse son sexe vers moi. Il a juste à tourner un peu. J’étais déjà si près que le gland est à quelques centimètres de mon visage. Un gland découvert, brillant, rose, avec la peau si délicate et sensible. — Vas-y, mon chéri. Tu vas voir, c’est super. J’entrouvre les lèvres. Est-ce moi qui avance ou Xavier qui le pousse vers ...
    ... moi, mais mes lèvres couvrent le champignon. La peau est douce, tiède, souple mais tendue. Mes lèvres se referment. Je sens la séparation entre gland et hampe, sillon aussi délicat et sensible. Je suce une bite. J’en caresse les couilles. Une impression de déjà-vu, déjà-fait… La madeleine de Proust peut se cacher dans bien des choses : une forme, une tiédeur, une structure, une odeur, un goût… Tout me revient à l’esprit. J’étais jeune. J’avais chassé cette expérience de ma mémoire car certainement je la jugeais peu valorisante, voire dégradante, mais mon subconscient vivait avec. Pourtant, avec le recul, il n’y avait pas de quoi avoir honte ni d’en faire une source de souffrance. Je faisais partie d’une équipe de rugby avec des copains du collège et d’autres ados. C’est ainsi que je suis devenu la femelle de Max. Il a fait de moi sa lopette. Après chaque rendez-vous je me persuadais que je ne reviendrais plus, mais il lui suffisait de siffler et j’accourais. Pas de violence, pas de menaces : il me tenait par le plaisir. Après le sport – mais surtout dans ma chambre – j’étais une Juliette que Roméo venait rejoindre. Sauf que j’habitais au rez-de-chaussée et que la Juliette se faisait enculer ou remplir la gorge. Max était à peine plus âgé mais semblait tout connaître de la vie. Il savait la puissance de la suggestion, de l’excitation apportée par la peur d’être surpris. Alors qu’il s’activait dans mon cul et qu’il me branlait afin que nous jouissions de concert, je craignais ...
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