A bas les préjugés !
Datte: 02/02/2019,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
cadeau,
cocus,
voisins,
amour,
Oral
69,
pénétratio,
hsodo,
confession,
... raide, alors qu’une verge molle et sans vie n’inspire que tristesse. Xavier bande, et son sexe est à l’horizontale, montrant sous la table, malgré la discrétion de l’éclairage, un gland bien dégagé, champignon qui pousse vite si la libido le demande. Céline gronde. Elle a lâché la tête de son amant pour se torturer les seins, tordant ses tétons avec fureur. — Ahhhhhhhhh. Il y a des "Ahhhhhh" qui font mal à ceux qui ne peuvent… Mais l’homme se redresse. Il s’empare des mollets de la femelle qu’il vient de faire jouir, les tire vers le plafond pour former un V obscène, un V de victoire, un V comme vortex. Elle est écartelée, s’offre sans vergogne à son amant. Lui, dont la queue se place. Lui, dont le gland repousse, et lui dont la queue disparaît comme aspirée dans la fente dégoulinant de salive et de jus. Je ne peux me retenir de m’approcher, comme hypnotisé. Déjà le conquérant explore et prend possession d’un territoire pourtant de nombreuses fois déjà honoré par lui. Mais chaque fois c’est une découverte. Il la baise doucement, et je vois parfaitement sa queue sortir puis entrer pour disparaître et revenir chargée de liqueur qui l’habille d’un film gras et brillant. Céline soupire. Le mandrin semble plus grand que le mien du temps de ma splendeur, et elle apprécie. J’ai la pensée un instant que je joue peut-être un jeu dangereux, et que même si je retrouve ma vigueur, Céline aura la nostalgie de cette bite. Les couilles de l’homme se balancent au rythme de ses mouvements. ...
... Elles aussi sont belles, peau tendue sur deux belles boules qui se préparent pour le final. Il accélère. Son ventre claque sur les fesses de ma femme. — C’est bon, hein ? Dis-le.— Oui. Oui, c’est bon. L’homme accélère. C’est une force brutale qui prend possession de Céline. Elle s’accroche à la table, enfilée par un braquemart de soudard. — Mieux que ça. Dis-le à ton mari pour qu’il retrouve sa virilité. Elle me découvre spectateur plus attentif, plus proche. — Oh, Charles, mon chéri… Oui, c’est bon. Ahhhh… Merci pour tout ! Il me fait du bien. Je le sens… Ohhh, oui ! Bientôt ce sera toi qui vas me prendre. Tu vas me revenir plus puissant, plus fort, et tu vas me bourrer comme tu voudras. Comme une pute, comme… Un silence, mais le visage de Céline parle à sa place. Il la baise bien. Elle se tend vers lui. Ses reins touchent à peine la table. Elle est arquée pour encore mieux le sentir. Et lui ne se retient plus. Sa bite est magnifique. Ses couilles se balancent. Et si… Je fais un mouvement sans vraiment réfléchir. Je passe une main pour aller toucher les deux pruneaux, les enveloppant avec douceur. Je frissonne de ce contact. Mais Xavier aussi. Il s’immobilise, et ma main devient un reposoir pour ses bijoux. Je ne comprends pas ma réaction, mais ma main ne m’obéit plus. Elle vit sa propre vie, apprécie le soyeux de la peau tendue, le poids des boules qui se gonflent de liqueur. Xavier sourit et reprend ses mouvements. Je l’accompagne. Mon regard ne quitte plus le mandrin qui ...