1. Suite de mariage


    Datte: 03/02/2019, Catégories: fh, hplusag, pénétratio, policier,

    ... Excusez-moi. Passant au tutoiement : — Bernard, tu n’as pas à t’excuser. Et de le prendre par le cou et de l’embrasser de nouveau sur la bouche. Cette fois-ci point de recul, il comprend qu’il n’y pas maladresse et que la chose est délibérée. Il la prend dans ses bras et répond au baiser. Il est pris dans un tourbillon d’émotions. Il trouvait à la jeune femme beaucoup de charme, de bon sens et de volonté, mais comme le soupçonnait Perrine, bien qu’il fût attiré par elle, il n’envisageait aucunement une relation autre qu’amicale entre une jeune femme au physique à damner un saint, à la fortune au nombre de zéros à donner le vertige et en plus secouée par son histoire avec Georges, de quoi vous rendre circonspect avec les hommes. Jamais il n’aurait imaginé qu’elle puisse le regarder avec les yeux de l’amour un homme en âge d’être son père, ancien mercenaire ayant bouleversé sa vie pour ne pas dire dévasté. Quand leurs lèvres se séparent. Il retrouve un peu de raison : — Perrine. Ce n’est pas raisonnable. Avez-vous pensé à ce que vous êtes et ce que je suis ?— Oui et où est le problème ? Ce qui est important c’est ce que je ressens pour toi et ce que toi tu ressens pour moi. Oserais-tu dire pas que tu n’éprouves rien pour moi ?— … Non…— Tu m’aurais dit le contraire je ne t’aurais pas cru.— Mais c’est quand même de la fol…— Il n’y a pas de mais. Je ne veux plus entendre de mais, l’interrompt-elle. Embrasse-moi. De nouveau leurs lèvres se joignent en un baiser fiévreux. Quand ils ...
    ... s’écartent un peu pour reprendre souffle, il dit : — Est-il indispensable de rester plantés devant la porte ?— Non, viens. Elle l’entraîne en riant. Elle ouvre une porte, celle de sa chambre. Un nouveau baiser les unit. Toute hésitation envolée, Bernard entreprend de déboutonner la robe de Perrine. Elle ne porte rien en dessous. Dire qu’il ne s’en était même pas aperçu ! Une fois nue, elle n’entend ne pas être la seule. Elle s’attaque au costume de son hôte. Quand tous deux se retrouvent dans la même tenue minimaliste, elle l’entraîne vers la salle de bain. Ils se savonnent mutuellement. Elle le découvre. C’est un bel homme grisonnant et malgré cela musclé, au visage allongé, au nez droit, des yeux marron dans lesquels elle ne voit que de la tendresse. Il la dépasse de dix centimètres. Elle remarque plusieurs cicatrices. Elle ne pose pas de questions. Ce n’est pas le moment de lui faire raconter ses souvenirs de guerre. Lui avait déjà eu un aperçu de son anatomie en la soignant. Ce qu’il voit ravirait le plus exigeant des hommes. Il est ébloui qu’une telle femme qui pourrait avoir tous les hommes à ses pieds l’ait choisi lui. Quand ils sont secs, il la soulève dans ses bras sans effort, ce n’est pourtant pas demi-portion et la dépose sur le lit. Il l’embrasse sur les seins, puis le ventre avant d’atteindre ses trésors secrets. Elle apprécie. Il est doué et sait se servir de sa langue avec brio. Elle prend une première fois son plaisir. Elle ne veut pas être en reste. Elle se ...