Le don de soi
Datte: 03/02/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
jardin,
fête,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
fdanus,
... rythme de nos va-et-vient augmenta. Sa respiration devint rauque. La poitrine nue contre l’écorce et ma main sur sa gorge, elle poussa un petit cri, pareil à un cri de douleur, quand l’orgasme la saisit. Un spasme la secoua. Doucement, elle fléchit sur ses jambes et s’appuya lourdement sur le platane. — Mon Dieu, c’est trop, hum, ha… Quelques secondes passèrent à l’écouter respirer. — Ça suffit, j’en peux plus… Vous allez m’épuiser, vieux satyre.— Moi non plus, je n’en peux plus… Avant qu’elle ne bouge, je défis ma braguette et sortis mon sexe. Je n’osai le toucher de peur d’éjaculer dans la seconde, tellement j’étais excité. Je lui pris les deux mains, espérant lui signifier ainsi que je préférais qu’elle l’avale sans préliminaires. Joue contre joue, mon gland touchant sa toison, je lui glissai à l’oreille : — Une vraie salope me ferait jouir en trente secondes et sans les mains, vu mon âge et mon état…— Hum… c’est donc l’examen final… et je suppose qu’une telle personne se repaîtrait de la semence recueillie… Un voile d’ivresse troublait presque ses yeux. Elle s’agenouilla et m’avala. Une fois dans sa bouche, je lui lâchai les mains et posai ...
... les miennes sur son crâne pour lui donner le rythme adéquat. Je ne tins probablement pas beaucoup plus que trente secondes. Elle portait une de ses mains à mes bourses presque douloureuses d’être aussi pleines, lorsque je jouis à longs jets. Un peu surprise, Julie garda élégamment mon membre dans sa bouche jusqu’à la fin et continua tendrement sa caresse jusqu’à ce que je la relève. Je corrigeai sa tenue et la mienne et l’embrassai fougueusement encore une fois, à l’abri de ce digne végétal. Nous retournâmes vers la terrasse sans dire une parole, légèrement distants l’un de l’autre. J’étais vidé. Vidé de mots, de désir, de sperme et d’énergie. Mais aussi plein de cette jeune femme qui m’avait tant donné d’elle-même. Bien plus que ce que je lui avais donné, me semblait-il. Près de la maison, Aline nous croisa et lança discrètement à sa fille : — Tu devrais tenir compagnie à Michel, ça ne va pas fort en ce moment…— Oui, heu d’accord… bien sûr, maman… Pourtant c’est Martin qui m’accapara les heures suivantes… Lors de mon départ, Julie put simplement me glisser dans la main un papier avec son numéro de portable et ce mot : — Encore ?!?! À suivre…