1. Laina - chapitre 2


    Datte: 04/02/2019, Catégories: fh, couple, forêt, fsoumise, hdomine, miroir, Oral fdanus, jouet, baillon, sm,

    ... délicieux. Je suis furieusement tenté de céder à ses avances. Délicatement, je la repousse. La journée n’est pas finie, elle commence à peine. — Non Laina, à quoi cela aurait servi toute cette préparation si ce n’est pour ne pas en profiter pleinement. Allez, en route ! Joignant le geste à la parole, j’ouvre la porte puis pousse gentiment, mais fermement, Laina vers l’extérieur. Nous devons cheminer tout le long de la rue principale pour accéder au parc du château, puis contourner la pièce d’eau avant d’arriver aux premiers contreforts du massif forestier. En cette période de début des soldes, longer toutes ces boutiques de vêtements est très distrayant et intéressant. Pratiquement dans chaque vitrine, cette année, il y a au moins une "p’tite laine" d’exposée. Ici, un long cardigan de mohair blanc à cottes anglaises. Ailleurs, un pull en angora d’un bleu subtil avec, dans le dos un croisé élégant et original, formant comme deux ailes de papillon. Ou encore, ce petit gilet court vaporeux en fin mohair, très attirant, couleur vieux rose. Malheureusement nous ne disposons pas du budget suffisant pour tous ces éventuels achats, même en solde. Certains passants ou passantes que nous croisons ne manquent pas de regarder ma femme à mon bras. Est-ce sa beauté naturelle ? À moins que je n’ai poussé un peu trop loin son accoutrement et encore ils n’observent que la partie visible, ils ne se doutent pas que tous ses orifices sont comblés, au sens propre comme figuré. Ou, tout ...
    ... simplement, sa sensualité, magnifiée par la laine, émerveille ? Allez savoir, peut-être un peu de tout cela. Le côté un peu exhibitionniste de Laina est à l’honneur et je sais qu’elle en est satisfaite. Qu’elle est bien, fière et certainement pas honteuse ni gênée. Tant mieux, j’apprécie cette complémentarité. À un moment, elle glisse sa main gantée dans ma poche, caresse ma main, puis subitement s’arrête, fébrile, me serre les doigts. Ses yeux sont fermés. Il semblerait que ma Chérie vienne de croiser une première montée de son plaisir. Je lui souris, satisfait. Elle reprend ses esprits et nous continuons notre progression. Il y a encore du chemin et sûrement beaucoup d’orgasmes à venir… On avance à petits pas et j’ai comme l’impression que le rythme se ralentit de plus en plus. Je ressens souvent la main de Laina qui se crispe, dans ma poche, en enserrant mes doigts. À un moment, devant la pièce d’eau, Laina s’appuie au garde-corps métallique. Je remarque le léger tremblement de ses jambes. Une fine sueur perle à son front. Le visage tendu vers le ciel, les yeux mi-clos perdus dans le vague. Ou, plutôt, dans la vague d’une jouissance plus forte que les précédentes. Patiemment, j’attends quelques minutes tout lui caressant le dos, tendrement, compréhensif et rassurant. Puis elle me fait un signe de tête, me disant, en substance : — OK, c’était bon. On peut repartir. Je sens bien que la progression sur le chemin forestier, légèrement escarpé et semé d’embûches, devient de plus en plus ...
«12...456...»