Laina - chapitre 2
Datte: 04/02/2019,
Catégories:
fh,
couple,
forêt,
fsoumise,
hdomine,
miroir,
Oral
fdanus,
jouet,
baillon,
sm,
... délicat pour Laina. Les pauses récurrentes alternent avec un pas incertain. Par endroit, il faut sauter d’un petit rocher ou franchir une grosse racine. Alors Laina passe ses mains sous le poncho pour soutenir sa poitrine afin de la soulager de cette suspension mordante et éviter ainsi un étirement trop douloureux de ses tétons. Je cautionne et, compatissant, je l’aide à franchir l’obstacle en la soutenant par le bras ou la taille. Un nouvel arrêt prolongé. Laina s’alanguit de tout son long sur un rocher. Les yeux fermés et le souffle rapide. J’observe ses « poumons » monter et descendre rapidement au rythme de sa respiration. Je m’agenouille, de part et d’autre de ses cuisses, puis glisse mes mains sous le poncho, lui caresse doucement le ventre, peu à peu remonte vers ses seins, les empaume et, tout en les malaxant de mes pouces, titille ses tétons. Je suis trop à l’étroit dans mon jean avec une érection d’enfer. Subitement, j’entends le cri étouffé de Laina, me faisant « non » de sa tête avec un regard suppliant. Instantanément je m’arrête. Je la laisse tranquille afin qu’elle puisse reprendre contact avec la réalité et se remettre sur pied. Près d’un quart d’heure s’est écoulé. Laina se redresse lentement, elle semble encore faible mais, vaillamment, se met debout et, prenant mon bras, se remet en route. À tout petits pas… vacillante. À distance, on pourrait imaginer que je promène une grand-mère. Nous ne sommes pas allés bien loin. Laina me tombe littéralement dans les ...
... bras, ses jambes flageolent et ne la portent plus. Je l’enlace tout en la soutenant fermement, sa tête nichée dans mon épaule. Tendre et délicieux moment ! Je lui prodigue des petits bisous dans les cheveux. J’aime son odeur, mélange de son parfum, de ses effluves et des senteurs de sous-bois. Je relève son col afin d’ôter son bâillon boule. Pendant que je le glisse dans ma poche, je rabats complètement le col roulé sous son menton. À l’emplacement de sa bouche, il est imbibé de sa salive et il n’y a plus aucune trace de mon sperme. La « lessive » a été bien faite, tous les longs poils de mohair sont collés, il n’y a plus qu’à faire sécher. — Merci, me dit Laina dans un souffle, reconnaissante. Je n’en peux plus. Toutes ces excitations de partout qui me stimulent presque en permanence, ces jouissances en vagues successives avec, en paroxysme, ces crêtes d’orgasmes violents. Je suis complètement épuisée. Je t’en prie, rentrons maintenant, continue-t-elle, suppliante. D’autant plus, mais tu ne le sais pas, un fil de mohair de ce malicieux pompon a réussi à s’immiscer dans l’entrée de mon urètre, me provoquant comme des décharges électriques. J’ai eu beau me tortiller dans tous les sens, je n’ai pas réussi le faire ressortir et j’ai même l’impression qu’il en a profité perversement pour s’introduire encore plus profondément, me rendant folle ! Tiens, tiens, cela me donne des idées. Un bricolage machiavélique germe dans mon cerveau lubrique. Pour le moment, je plaque ma main sur ...