1. Fêtes


    Datte: 04/02/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    voir l'en-tête completMon oncle ce jour-là me demanda un service singulier. Il voulait que jesurveille sa femme. Celle-ci se tenait mal durant les fêtes du village.L'année précédente, elle avait suscité un scandale s'étant affichée avecdes types. Il était étonnant que l'oncle s'émut de cela à présent. Ilavait été jusqu'alors complaisant. Était-ce qu'il espérait desprochaines élections et que sa femme parut alors un inconvénient plusqu'un avantage ? Quoiqu'il en soit manifestement tourmenté il medemandait de la contrôler. J'étais pris de court n'étant de mon avis pasla personne indiquée pour cela.Qui plus est comme tous les jeunes gars du village j'étais subjuguée parcette jolie femme de quarante ans. J'étais au courant de tous sesexploits. Certains de mes camarades avaient pu obtenir ses faveurs. Seulm'arrêtait la considération qu'elle était l'épouse de mon oncle et quecela ferait du désordre. Ce scrupule était stupide car mon frèreimpunément l'avait sauté lors d'un mariage dans une voiture. Je trouvaismille raisons à ma timidité et lâcheté. Lorsqu’elle m’adressait desœillades je rougissais en baissant les yeux. J'en étais quitte pour mebranler.L'oncle me mit ce jour-là en porte à faux en signifiant ostensiblement àla belle que je l'escorterais durant la fête afin qu’elle ne but trop etfit inconsidérément du scandale. Elle sourit de façon dédaigneuse enconsidérant le bodygard minable dont on l'affublait. Elle s'avisa trèsvite que je ne serais guère gênant. A ce titre ...
    ... elle me montra deux,trois jeunes jolies filles qui regardaient vers moi. Elles en pinçaientmanifestement. Bref j’avais mieux à faire que d'escorter une vieillecomme elle et à me priver des plaisirs de cette fête. Je n'avais qu'àraconter un bobard à son mari.Hésitant je me résolus à la suivre de loin affectant de draguer quelquesfilles. Ma tante m’adressait un regard courroucé que je maintins malgrétout ma surveillance. Bientôt elle parut ne plus en être blessée. Nousétions dans un coin de fête où n'était pas son mari. Elle avait acceptéun verre avec un type. Elle buvait fort maintenant éméchée.J'appréhendais le pire. Je crus devoir me mettre en son champ de visionpour la dissuader. J'eus juste droit à ce qu'elle me tira la languefaisant rire le vieux qui la collait. Elle chuchota sans doute quej'étais un amant.Maladroitement j'avais moi-même avalé quelques verres, acte contraire àla déontologie d'un agent investi de surveillance. Tout se mélangeaitdans un esprit devenu brumeux. Le plus curieux est que je m’identifiaisau type qui la tripotait. Celle-ci tout aux éclats de rire se laissaitremonter la jupe. Les types autour se régalaient. Un scandale à présentse profilait. Peut-être crut-elle sage de lever le camp et de s'éloigneravec son mâle. Elle ne s'en assura pas moins que je les suivais ce quine parut pas l'embêter. Au contraire elle me sourit.Nous dérivions au milieu des tentes et des baraques. Tous deux setournaient vers moi des fois ivres et hilares. Il n'avait cure de ...
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