1. Fêtes


    Datte: 04/02/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... macompagnie. J'étais mu comme par un aimant. J’avais idée qu'ilscherchaient un endroit tranquille où je ne parviendrais plus à lesobserver. J'étais résigné à ce qu'ils disparurent un instant de monécran radar. Les bruits de fanfares s'estompaient. Il y avait une sortede silence empli du chant des insectes. Tout se tournait au ralenti. Levieux l'embrassait maintenant à peu de pas de moi. Je lui voyais lesfesses, la jupe relevée.Je ne pus réprimer longtemps mon érection. Par réflexe et pudeur je tinsà me cacher tant pour qu'ils ne me virent pas que pour mieux mater. Elleregarda vers moi. Peut-être crut-elle que j'avais disparu. Elle luirendait avec fougue ses baisers. Elle ne riait plus. Elle était tout àl'importance de se donner. J'étais fasciné de la pouvoir découvrir dansson art de putain. Cela passait tout ce qu'on m’avait dit sur elle. Rienne remplace le réel. A présent à genoux elle lui déboutonnait lepantalon. Elle suçait telle une forcenée tandis que calme le cochon luicaressait le cheveu.J'avais sorti ma queue et me branlais. J'aurais pu être touché par lahonte mais ces circonstances étranges nous avaient installé dans unedimension où rien ne pouvait nous atteindre tant la morale quequelqu'autre accident. J'avais droit à ce que de loin cette garce meprodiguât du plaisir. Je soupçonnais qu'elle me devina peu loin et quemon statut de voyeur lui augmenta sa jouissance. En effet il n'était pasinconcevable que d’autres que moi admirât ce spectacle. Manifestementelle ...
    ... n’avait cure que nombre virent comment un cochon la sautait.Je ne perdais aucun détail. Le goret était accroupi sous elle et luibouffait le c ... Dodelinant de la tête elle manifestait tout sonplaisir. Il la bourrait derrière. Plus tard il parut que la queue avaitété introduite dans le plus petit trou. Le râle de la garce me parvenaitplus fort. J'astiquais à mesure plus énergiquement mon sexe. Je fus àpeine étonné qu'un autre homme parut alors entre les baraques. Un grospetit chauve. Il avait la queue sortie qu'il branlait se dirigeant versle couple. Il connaissait manifestement le vieux. Ils rigolèrent. Ilobtint rapidement de se faire sucer.Les trois-là se roulèrent das l'herbe. J'étais fasciné, médusé de ce queje voyais. L'un l’autre besognait chacun en son trou. Le pilonnage étaitextrême. Je ne concevais pas qu'une femme put souscrire à une tellev******e. Ce corps frêle entre ces deux corpulences faisait peine àvoir. J'hésitais à percevoir ce qui fut gémissement de douleur ou deplaisir. Les deux peut-être. Enfin ces messieurs se résolurent de jouirensemble. Ils se levèrent pour lui projeter comme si ce fut du champagneleur sperme sur le visage. Ils célébraient tous trois la bonneplaisanterie.Le chauve qui en voulait davantage coucha ma tante encore une fois dansl'herbe la besognant entre les cuisses et l'embrassant à pleine bouche.Le vieux revint avec un seau afin que la pauvre se nettoyât tout levisage. Ne fallait-il pas effacer toute trace de stupre ? Ilsconversèrent un peu ...