La seconde chance - Histoires de Sexe

La seconde chance

... putain et j’aime vraiment trop ta queue. Baise-moi, putain, baise-moi fort, elle est trop bonne ! C’est en lui hurlant ces derniers mots que l’orgasme m’a gagnée. Un orgasme fulgurant et profond, mon corps tout entier a été pris de spasmes et je me suis envolée en émettant un long et lancinant soupir de satisfaction. — Ooohhh ouiiiii hummm, que c’est boonn ! Renaud m’a suivie de peu, je l’ai alors senti se retirer en créant un vide dans mes entrailles, il a ôté sa capote, s’est branlé fermement quelques secondes, puis il a tenu la promesse faite un peu plus tôt en me tapissant les fesses de sa jouissance. Tout en me donnant une claque sèche sur le cul, il m’a alors dit : — J’espère que l’on n’a pas réveillé, mon pote ? T’es une belle salope, toi, c’était vraiment le pied ! Va le rejoindre, moi je retourne me coucher. Et il m’a laissée plantée là… ! L’excitation du moment retombant, je me suis d’un coup sentie sale et honteuse. Mais qu’est-ce qui m’avait pris ? Pourquoi ? Je suis passée par la salle d’eau afin de me laver et me rafraîchir un peu, mais aussi afin de m’isoler, car j’avais honte, vraiment très honte du comportement impulsif que je venais d’avoir. Je me suis accroupie et en me prenant la tête entre les mains, j’ai respiré un bon coup pour trouver le courage de rejoindre Marc. Allez ! Je ne pouvais pas rester là et il était temps d’assumer. J’étais persuadée de me faire jeter, mais je me suis malgré tout dirigée vers la chambre, inquiète j’ai doucement baissé la ...

... poignée de la porte pour l’entrouvrir et quelle ne fut pas ma surprise ! Marc était là, apparemment endormi. Endormi ? Faisait-il semblant ? Il était difficilement concevable qu’il n’ait rien entendu, l’appartement était tout petit, il se trouvait juste dans la pièce à côté et nous n’avions pas franchement été discrets. À tâtons, je suis entrée, je me suis mise nue et me suis allongée auprès de lui. Me sentant coupable, je n’osais malgré tout pas trop me rapprocher et me suis positionnée dos à lui. J’essayais en vain de trouver le sommeil lorsque je l’ai senti se retourner et venir se coller à moi pour me prendre tendrement dans ses bras, je ne m’y suis alors jamais sentie aussi bien. J’avais besoin d’un câlin et de tendresse malgré les remords qui ne me quittaient pas ; je l’avais quand même déjà fait cocu alors qu’il n’avait même pas eu le temps de consommer ! Toujours est-il que j’étais dans ses bras et que je les appréciais. Je me dorlotais contre lui lorsque j’ai senti son sexe prendre peu à peu vie contre mes fesses. Il s’est mis à me caresser tendrement du bout des doigts, ses caresses étaient si douces et sensuelles qu’elles m’ont fait fondre de plaisir et alors qu’il m’embrassait avec application dans le creux de l’épaule, je l’ai entendu me chuchoter à l’oreille deux mots qui ont sonné à mon tympan comme une caresse ensorcelante : — Audrey, je t’aime ! Je lui ai alors spontanément répondu : — Oh, moi aussi… je t’aime fort Marc ! Je me rendais bien compte que cela ...