1. La seconde chance


    Datte: 04/02/2019, Catégories: fh, jeunes, couple, copains, amour, Oral préservati, pénétratio, init,

    ... plaquée contre l’évier et m’a dit sur un ton qui ne prêtait pas à discussion : — Ne bouge pas, j’enfile une capote ! Je me suis donc retrouvée là, le slip aux genoux, le tee-shirt relevé jusqu’aux seins, accoudée à l’évier et la croupe tendue… offerte, dans l’attente de sentir enfin son sexe me prendre. J’ai entendu le bruit d’un sachet de préservatifs se déchirer et il m’a prise ainsi en levrette, sèchement en me disant à l’oreille : — Tu vas voir ma belle que tu n’es pas venue pour rien ! Mais qu’est-ce que c’était bon que de sentir enfin un sexe bien ferme et performant s’introduire en moi ! Bien que les préliminaires furent courts, je devais être trempée tant la frustration fut longue et tant la situation m’excitait ; c’était fort, intense et tellement salvateur que de se sentir prise ainsi. Savoir Marc juste dans la pièce à côté me mettait mal à l’aise, mais cela m’excitait aussi beaucoup et malgré le fait que je craignisse qu’il puisse nous entendre, je n’ai pas pu retenir un soupir de satisfaction en sentant ce pieu m’empaler. — Humm ! Ouuii ! Baise-moi fort ! Cela m’était sorti tout seul, pas chuchoté, pas en sourdine, en un souffle je lui ai hurlé de me baiser tant j’étais prise dans l’excitation du moment. Renaud ne s’est alors pas fait prier, j’ai senti ses coups de reins se faire de plus en plus secs et énergiques, son membre m’a remplie de plus en plus profondément et en m’empoignant fermement les fesses il m’a répondu : — Il est trop beau et trop bandant ton ...
    ... p’tit cul ! La levrette est sans conteste ta position. Oh oui, je vais te baiser et je te lâcherai ma sauce dessus, mais avant je veux te faire gémir, ma belle. Et pour me faire gémir, il m’a fait gémir ! Les claquements que faisait son pubis en heurtant mon cul se sont faits de plus en plus secs, l’accouplement était intense et bestial, j’étais devenue sa chienne et contre toute attente je n’en éprouvai ni honte ni gêne. Bien au contraire, quel bonheur c’était que de me faire ainsi prendre et baiser ! Le plaisir gagnait de plus en plus en intensité et me procurait des frissons qui me parcouraient la colonne vertébrale de bas en haut, mes oreilles me chauffaient et j’étais prise de vertiges tant les sensations étaient fortes et intenses. Oui, j’étais sa chienne et j’en demandais encore en projetant mon cul au-devant de ses coups de reins pourtant déjà bien francs, j’en demandais encore et en voulais encore plus au fur et à mesure que l’orgasme me gagnait. Des onomatopées de plaisir fusèrent de parts et d’autres, vulgaires, même dégradantes, dans un vocabulaire qui m’aurait choquée dans un autre contexte, mais qui pour l’heure s’avéraient être plutôt de circonstance. Étrangement, cela en rajouta même à mon excitation et décupla mon plaisir : — Putain, c’est bon, baise-moi plus fort !— Prends ça, salope ! T’aimes la bite, toi.— Oh oui, j’aime ta bite !— T’es ma pute ?— Oui… !— J’entends rien ! Dis-le plus fort !— Ouuiii… !— Quoi ? J’entends toujours rien !— Ooh ouuii, j’suis ta ...
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