1. Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (5)


    Datte: 05/02/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... rivière, ce qui n’était pas désagréable du tout. Et ensuite quand l’eau atteignit son pubis, elle poussa un gémissement de plaisir. A chaque pas, des bulles venaient effleurer les douces muqueuses de son sexe légèrement immergé, lui procurant une sensation de délice. Alors elle put avec ses doigts nettoyer son antre dégoulinante de la semence de l’animal, et continuant à s’enfoncer, elle sentit avec délice l’eau atteindre ses seins. Ses tétons devinrent durs au contact de la fraîcheur de l’eau. Alors elle se laissa aller à nager un peu, profitant de la liberté que lui procurait sa nudité dans cette eau fraîche et pas vraiment propre, enfin d’après ses standards de petite bourgeoise à elle ! Elle ressortit et se laissa sécher au soleil naissant tandis qu’une brise déjà chaude lui caressait la peau. Quel délice ! Repensant à l’individu qui l’avait espionnée alors qu’elle faisait “ l’amour ‘ avec le chien , elle ressentit un picotement au niveau de son entre jambes, et une excitation sexuelle qu’elle commençait à bien connaître depuis les dernières 24 heures. Elle ne se reconnaissait plus. Avoir éprouvé tant de plaisir lors d’une expérience zoophile, et maintenant se prendre à éprouver un plaisir malsain à avoir été observée par un voyeur ! Qu’allaient donc lui procurer les prochaines heures ? En tout cas son esprit raisonnable reprenait le dessus, et elle se disait qu’elle était quand même en danger, et qu’elle devait quitter ce canton le plus rapidement possible ! Elle suivit ...
    ... la rivière vers ce qu’elle pensait être le nord, puisqu’elle marchait avec le soleil à sa droite. La marche était malaisée car elle devait souvent enjamber des buissons ou des racines, des branches parfois hautes. A un moment passant une grosse racine qui s’élevait au niveau de son bassin, elle se retrouva à califourchon dessus, sa vulve en contact avec le bois doux et humide. Poussant sur son corps pour passer l’obstacle elle s’écrasa le clitoris sur la branche et en ressentit une vive vague de plaisir qui traversa son cerveau. Elle exhala un petit gémissement et cédant à l’appel du plaisir, elle démarra un mouvement de “meule” pour se masturber sur la branche. Elle fermait les yeux, et vaincue par l’excitation elle criait sans retenue son plaisir. Son orgasme fut saisissant et la laissa pantelante à cheval sur sa branche. Quand elle rouvrit les yeux, elle se demanda si elle n’était pas tout simplement en train de devenir folle . Allait-elle se transformer en ces femmes pécheresses, victimes de leurs sexualité débridée, de véritables “démones nymphomanes”, que son mari lui avait un jour montrées sur un site pornographique du net. Ou bien comme cette goulue, cette Angélique Martin des Essarts qui avait donné le départ de cette soirée orgiaque à laquelle son mari l’avait emmenée , quelques mois auparavant . Elle avait regardé cette femme nue au physique gourmand, qui exhibait sans honte aucune ses seins magnifiques et son sexe parfaitement épilé, se faire prendre par ses deux ...