1. Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (5)


    Datte: 05/02/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... serviteurs blacks à la musculature et au sexe hors de proportion… Et là en y repensant, elle se serait bien vue, livrée à la vue de tous, sur cette estrade, en train d’être offerte par son mari à plusieurs hommes en même temps… Mais un mouvement et du bruit attirèrent son attention devant elle et la sortirent de sa rêverie. Deux hommes, des pêcheurs, au propre comme au figuré, la regardaient avec gourmandise à moins de 10 mètres d’elle ! Oh c’était bien des gens du cru, mal fagotés, pas très propres, une barbe mal taillée, une tronche de pochtron et surtout un regard lubrique vissé sur son anatomie délectable . "Hé bien ma jolie, en voilà une apparition. On fait prendre l’air à ses beaux appâts que voici ? Une belle paire de miches et une petite chatte toute lisse. -Et en plus elle se branle sur la branche ! Alors ma belle tu voudrais pas qu’on s’occupe bien de toi ? On a deux belles bites et on sait bien s’en servir ! " Pour toute réponse Marie-C, paniquée à l’extrême, ( enfin pour le moment, car elle allait l’être “niquée” et à l’extrême aussi d’ailleurs) prit la fuite dans la direction d’où elle était venue, du plus vite qu’elle put ...Elle n’avait pas parcouru 10 mètres qu’elle ressentit des douleurs cuisantes, l’une au niveau de son sein gauche et l’autre sur sa cuisse droite. Elle stoppa net, en proie à cette douleur lancinante et mordante, et regardant vers le bas de son corps, elle vit deux rigoles de sang bien rouge qui s’écoulaient de deux hameçons, qui ...
    ... s’étaient enfoncés dans sa chair. Les deux pêcheurs s’étaient servi de leur cannes à pêche pour ferrer cette belle prise ! En proie à des tremblements causés par la panique et la douleur, Marie-C était tétanisée, elle n’osait plus bouger de peur de s’arracher des lambeaux de peau. Alors telle la biche blessée par les chasseurs qui viennent achever leur proie avec la dague, elle observa ses deux tourmenteurs arriver sur elle. Les deux hommes l’entourèrent, ils empestaient la sueur et l’alcool. N’y avait il pas de savon dans cette région honnie de Dieu, pensa stupidement Marie-C ? "Allons allons, ma jolie, tout doux, on va te débarrasser de ses vilains hameçons...fallait pas nous fausser compagnie comme ça . Tu sais il y a peu de distraction par ici, alors rencontrer une superbe pouliche à poil comme toi. On pouvait pas laisser passer l’occas. " Le plus rougeaud des deux, Paul, fit asseoir doucement Marie-C sur une souche, qui se laissa faire comme vidée de toute volonté. Tandis qu’ ”Arnest” ( en référence à “Arnest Ringard” de chez Franquin, éditions Dupuis… cela avait bien fait rire tout le village lorsque la BD était enfin arrivée. Et tout de suite le pauvre Ernest, victime de taupes dans son jardin, fut affublé du sobriquet ) retirait délicatement les deux hameçons de la peau diaphane de Marie-C et lui versait de la gnôle, sortie de sa gourde, pour désinfecter les blessures. Marie-C hurla. Alors Arnest lui ouvrit la bouche et lui versa une généreuse rasade dans la gorge. Marie-C ...