La gêne et le plaisir - Partie 3
Datte: 05/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... avoir terriblement envie de jouir, étant sur les nerfs sexuellement depuis qu’il s’était invité dans mon jeu de selfbondage. J’accélérais le rythme de mes frottements, au point de me faire mal au sexe. Je levais les yeux vers lui et me sentis gênée en croisant son regard. Je ne baissais pas les yeux et continuais de le regarder ; encore ce mélange de moquerie et de dégout qui m’excitait tant… ça y était, je commençais à mouiller. Les frottements devinrent moins durs et je commençais à ressentir du plaisir à chaque geste, comme des chocs électriques. Et soudain je me déchaînais : je ne me contrôlais plus, me frottant avec violence et obstination. Je criais mon plaisir, d’un cri animal et régressif. C’était violent, mais si bon ! Ce n’était rien de comparable avec les vibrations subies de l’oeuf, c’était une quête désespérée de contact, de sensation. L’orgasme était proche, je faillis tomber à la renverse, mais Damien me rattrapa avant que je ne culbute en arrière et ne me fasse mal. Il baissa ma culotte et m’introduisit deux doigts dans le sexe. Rentrant et sortant ses doigts tout en me caressant le clitoris de l’autre main, je ne tardais pas à exploser. - Tu es vraiment une grosse salope, dit-il en m’embrassant les seins. Une trainée, facile à faire jouir, une vraie chienne en rut. Tu es ma chose. - Arrête, implorais-je. - Je fais ce que je veux de toi, regarde ! Il introduisit un troisième doigt dans ma chatte et ses gestes devinrent plus rapides ; enfin, c’était l’orgasme, ...
... brut, éblouissant. Je criais et battis des jambes. Il m’asséna une claque sur la cuisse, comme on punit un chien trop agité. Je me calmais, et me couchais en chien de fusil et fermais les yeux pour ne plus rien voir. J’arborais un sourire béat. J’avais eu ce que je voulais, et c’était délicieux. Mais manifestement, Damien ne comptait pas en rester là. - Visiblement, tu as encore besoin d’une bonne leçon d’humilité. Tu sais quoi, je vais appeler un de mes copains qui habite sur le campus. - Non ! Pitié ! Ne fais pas ça ! implorais-je. Tu m’as promis que ça resterait entre nous ! Il alla chercher son téléphone. Je me jetais à ses pieds tandis qu’il composait le numéro. - Code rouge ! code rouge ! criais-je. Il rangea son téléphone, agacé. Il m’envoya bouler d’un coup de pied. Je roulais sur moi-même et me débrouillais pour me retrouver sur le dos, assise. Il marcha vers moi d’un air peu commode et introduisit son pied entre mes cuisses serrées. Appuyant son pied contre mon sexe encore sensible, il me dit : - Tu es vraiment sure de vouloir t’arrêter là, alors que je t’ai fait jouir deux fois ? Si tu arrêtes maintenant, c’est fini pour toujours. Ce serait dommage de s’arrêter en si bon chemin. Je ne voulais pas qu’il s’arrête là. Je voulais encore des orgasmes et des défis. La honte et le sexe étaient comme des drogues dont je n’avais gouté que des échantillons. - Tu ne vas pas me faire croire que tu ne prends pas ton pied depuis le début. Même quand tu t’es pissé dessus, j’ai vu ...