1. La gêne et le plaisir - Partie 3


    Datte: 05/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... que tu embrassais ta véritable nature de soumise. Tu aimes être dominée et humiliée. Et l’être devant un étranger ça te fait carrément triper. Mais tu es trop fière pour l’admettre. - Alors ? - Je veux continuer… dis-je d’une petite voix. Mais s’il-te-plais, Damien, n’appelle-pas ton ami… - Je te rappelle que tu dois m’appeler Maître. Et tu vas me vouvoyer aussi. Tu veux continuer nos petites expérimentations ? - Oui, Maître. - Alors voilà comment va se passer la suite des opérations. Je vais t’attacher et t’enfermer dans le placard de l’entrée. Tu auras l’œuf, dont j’activerais les vibrations de temps à autre. Je vais faire venir mon pote Jacob pour faire une partie de carte et fumer un coup. Si il t’entend ou se rend compte de ta présence, je le laisse te faire tout ce qu’il veut, et ce sera à tes risques et périls. A ta place je contiendrais donc mes ardeurs de petite chienne. Surtout que tout s’entend dans cette maison. Quand je suis rentré tout à l’heure, tu gémissais si fort que je t’entendais depuis le jardin. Je ne dis plus rien. Quel choix avais-je ? Je réalisais que même la perspective d’être découverte par Jacob m’excitait. Je ne me reconnaissais plus, je n’étais plus qu’une créature avide de sensations sexuelles. Une chienne, me dis-je. Damien interpréta mon silence comme l’expression de mon approbation, et appela son ami Jacob. Ensuite tout alla très vite. Il m’ordonna d’aller dans le placard et alla chercher le matériel nécessaire. Dans le placard, j’avais à ...
    ... peine la place de m’assoir, je ne pouvais étendre les jambes. Damien – mon Maître, me surpris-je à penser – me détacha les menottes et le bâillon. Il me tendit l’œuf pour que je l’introduise moi-même. Etrangement, ce geste me fit tiquer. Subir les gestes des autres était une chose, mais être obligée de s’infliger l’introduction d’un sextoy en étant observée avait quelque chose de plus humiliant. Ensuite, Il me lia les chevilles et les genoux avec du scotch, et les poignets par devant. Il me fit aussi boire de nouveau un litre d’eau et disposa une serviette sous moi. C’était rageant. La sonnerie retentit, et il s’apprêta à refermer la porte du placard. - Et le bâillon ? chuchotais-je. - Ce serait trop facile, ricana-t-il en m’enfermant. Il courut ouvrir la porte, me laissant dans l’obscurité. Ne pouvant pas voir autour de moi, excepté un fin rayon de lumière sous la porte, mes autres sens se décuplèrent, surtout le toucher et l’ouïe. Il avait bien serré le scotch, impossible de me libérer. Je sentais l’œuf en moi, et redoutais l’instant où il démarrerait. Même s’il glissait hors de mon vagin, il serait retenu par ma culotte, que Damien avait pris soin de sécuriser avec du scotch à la ceinture et dans la longueur, entre mes jambes. Les vibrations continueraient donc leurs terribles méfaits sur ma chair. C’était sans issue. Damien fit entrer son ami et je les entendis bavarder gaiement dans l’entrée. Alors démarrèrent les vibrations, tout doucement, probablement au niveau un. J’eu ...