1. Dérapages.


    Datte: 06/02/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... restera longtemps. Moi, je suis estomaqué par ce que j'ai réalisé en quelques heures. Elle n'a aucun caractère, aucune résistance, a moins qu'elle ne soit maso. Une seule fessée et quelques viols, ont suffit à la briser. En attendant, je pose mes mains sur les hanches de Manon. - Allez, empale-toi mieux, je vais t'aider. Ma belle-fille reprends sa descente, je l'aide en tirant ses hanches vers le bas. Le reste de ma bite s'enfonce en elle, la pénétrant en entier. - Allez, maintenant monte et descend. - J'ai mal. Pitié, Léo... - Tu vas t'y habituer, allez, fais ce que je te dis. Alors Manon m'obéit, elle monte et descend lentement sur mon membre tendu. Elle est vraiment serrée, ses parois interne enserre ma bite comme un gant de soie. Elle grimace de douleur, pleure, gémit. Je vais l'aider, l'abattre un peu plus. D'une main, je lui masse doucement le téton droit, le faisant durcir, s'ériger. De l'autre main je lui caresse le clito. Le massant doucement, je ne tarde pas à sentir que son conduit s'humidifie. Je la fais mouiller, malgré elle. Manon supporte mal les réactions de son corps. Mais continue ses mouvement sur ma queue. Mon pénis est au paradis. Personne ne pourrait dire si cette relation est consentie ou est vraiment un viol. Le fait de voir apparaître et disparaître mon engin en elle, rend la partie de jambes en l'air, beaucoup plus érotique pour moi. Malgré ses pleures, mes caresses portent leurs effets. Les jappements de Manon ne sont pas tous de douleurs. J'espère ...
    ... la faire jouir une fois de plus. Je dois être sur la bonne voie, Manon accélère ses mouvements sur mon pieu, ondulant des hanches. Je joue de plus en plus avec ses tétons, son clito. Son antre d'amour est parfaitement lubrifiée. Ses jappements sont maintenant plus de plaisir que de douleur. - Putain... Oh putain... Même si elle pleure encore, Manon est au bord de l'orgasme. Son cerveau reçoit tellement de sensation, qu'il en oublie qu'elle est violée. Ma belle-fille a les yeux fermés, elle savoure les informations que lui envoie ses organes sexuels. Elle saute presque sur ma bite, avant de s'immobiliser sur moi. Je sens son vagin se contracter contre mon pieu. Elle ouvre la bouche, un long cri de plaisir en sort. Cette putain vient d'avoir un orgasme. Son corps est secoué de spasmes de plaisir. Elle ouvre des yeux horrifiés, elle vient de comprendre ce qu'il vient de se passer. Elle pleure de plus belle. - Mon dieu, j'ai encore jouit, c'est horrible, horrible... Moi je n'ai pas jouis. Alors je la plaque contre moi, c'est moi qui me met à aller-et-venir dans son corps. Je lui donne des coups de boutoirs de plus en plus puissant, lui arrachant de nouveau petit cri de plaisir. Quand mon sperme jaillit en elle, électrisant son antre d'amour, Manon cri de nouveau, un nouvel orgasme lui ravageant le corps. Si l'effet de sa jouissance est bénéfique pour son corps, il est désastreux pour sa psyché. Elle l'impression de n'être plus qu'un sexe que l'on prend quand on le veut. Un sexe ...