Dérapages.
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur,
... qui prend du plaisir à se faire violer. Elle ne sait pas que cette réaction, si elle n'est pas courante, n'est pas rare non plus. Je reste en elle, tandis que une nouvelle fois, le corps de Manon est secoué de spasme, mais cette fois autant de plaisir que de douleur. On reste ainsi, empalé l'un dans l'autre, pendant de longues minutes. Sa tête sur mon torse, Manon sanglote, tandis que je lui caresse le dos. - Pourquoi tu pleures? - Tu me violes, je jouis. Je suis une putain, une chienne. - Si tu le dis, pourtant tu as l'air d'aimer ce que je te fais. - Non, je déteste. Tu me viole, tu profanes mon corps. - Alors pourquoi tu m'obéis sans résister? - Je ne sais pas, je n'y arrive pas. J'ai trop peur de ce que tu peux me faire. - Tu as raison, crois-moi, tu as vraiment raison. Je me retire doucement du corps de ma belle-fille. Je sens mon sperme couler sur ma cuisse. - Il va falloir nettoyer. - D'accord. Manon s'agenouille sur le lit. Elle nettoie le sperme qui a coulé sur ma cuisse, puis celui sur les drap. Pour finir elle nettoie ma bite. Décidément cette chienne a des atouts que je n'imaginais pas. Elle s'allonge sur le lit, couchée sur le ventre. Elle croise les bras, pose son visage dessus. Elle sanglote doucement. - Tu pleures encore? - Oui, pourquoi tu me fais ça? - Parce que je peux. - Salaud, tu es un monstre... - Pourtant tu as jouis trois fois! - Mon corps, pas moi. - C'est pareil. - Non, si j'avais le courage, je te tuerais pour tout ce que tu m'as fais! - Oui, mais ...
... tu ne l'as pas. Alors demoiselle, fais attention à tes menaces, je pourrais te punir méchamment juste par prévention. Manon sur qui personne n'avait levé la main avant que je ne le fasse panique à mes mots. - Pardon, fais-moi ce que tu veux, mais ne me frappe plus. Viole-moi autant que tu veux, mais plus de coups, je t'en supplie, plus de coups. Je serais ta putain, ta chienne... Je souris à sa panique. - D'accord, mais tu as intérêt à être bien obéissante. - Je le serais, promis. - Bien, on verra après. En attendant, on dors. Je la détache, lui enlève ses menottes. Je me suis endormi, une main sur les fesses de ma belle-fille, l'entendant sangloter. Si on nous avais vu, on auraient crus à deux amant, pas à un beau-père violant sa belle-fille. Quand je me suis réveillé, Manon dormait toujours. Elle avait dut s'endormir bien après moi, car à mon souvenir, elle pleurée quand j'ai plongé dans les bras de Morphée. Elle était dans la même position, couchée sur le ventre, la tête sur ses bras croisés. J'ai regardé son cul parfait, bien bombé. J'ai pris une décision, cette conne va connaître sa première sodomie.Un plaisir que j'ai rarement pratiqué sur mes conquêtes, jamais sur Clara, la mère de Manon. Mais ce n'est pas pour de suite, avant cela, je vais déjeuner, me laver. Je m'occuperais seulement après du cul de Manon. Je mets le café à couler. Je pourrais avoir une cafetière à capsule dernier cri, mais je préfère celle qui marche avec du café moulu. Pendant qu'il coule, je vais ...