BM... W la suite !
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... urètre. Mon mâle, vaincu par le plaisir, pose sa tête sur ma cuisse. J’ai beaucoup de peine à délaisser ce bel organe, même si je sais que ce n’est que le début de nos ébats. Toujours en 69, nous profitons de notre sérénité en caressant nos corps avec beaucoup de sensualité, pas pressés de nous désunir. — C’est sympa en fait, de sucer. Confie-t-il en reprenant ma verge en bouche. — Tu prêches un convaincu. C’est comme établir une connexion avec un homme. Tu ressens tout de l’autre et, cadeau ultime, il te délivre toute sa puissance. — Hummm... ta queue me fait envie. Finalement, je crois que j’en ai envie depuis longtemps. En effet, il me suce avec une envie manifeste. Sa langue s’enroule autour de mon gland puis il enfonce ma verge au fond de sa bouche, tantôt langoureusement, tantôt rapidement. Mes couilles dans une main, malaxant mes fesses de l’autre... Sucer est inné; pour un homme. Il suffit d’en avoir réellement envie et de reproduire ce que l’on aime ressentir. L’homosexualité offre la possibilité de prodiguer ce que l’on aime. Deux mecs speed se feront plaisir, deux tendres également, il suffit de trouver le partenaire qui nous convienne. Jérôme, au bout d’une dizaine de minutes, m’arrache un bel orgasme. En plusieurs spasmes, je me déverse au fond de sa bouche en abondantes bordées. Revenu de mes émotions, je suis heureux de voir qu’il a consommé mon offrande. — Tu m’as fait voyager en première, c’était juste parfait. Tu as aimé ? — C’est très surprenant. De là à ...
... dire que c’est bon, je n’en suis pas convaincu, mais c’est... excitant de sentir que tu vas jouir, que c’est imminent, et d’un coup... — Ce qui est bon, ce n’est pas que le goût, c’est ce que ça représente, non ? — Tu dois avoir raison, j’avais vraiment envie de le faire. Par contre, étalé dans un Kleenex, on ne se rend pas compte du volume que ça représente à avaler. Quelques rires qui nous font du bien et nous mettent plus à notre aise. Une dizaine de minutes plus tard, enfin nous trinquons. Nus, totalement désinhibés, nous grignotons les pizzas en discutant. Plus mon estomac se remplit, plus j’ai envie de lui, de sa belle queue. Mais je tente de rester sage pour l’instant. L’un comme l’autre, nous savons très bien que la soirée est loin d’être terminée. Une bonne cigarette vient naturellement agrémenter mon café. Je suis à l’aise avec lui. Même mieux, il m’émoustille. Mon ventre le réclame. Ma main glisse sur sa verge chaude. Même complètement débandée, c’est déjà un monument. — Qu’est-ce que tu es bien monté, c’est impressionnant. — Elle te plaît tant que ça ? — Plus que jamais. J’ai toujours été fasciné par les grosses. Une sorte de défi permanent. En avoir plein les mains, plein la bouche, se sentir complètement rempli, c’est hyper excitant. Sa main descend dans le bas de mon dos tandis que je décalotte son gland redevenu orgueilleux. — Regarde ce nœud ! Je vais encore être obligé de te sucer. Lui dis-je en me penchant sur son sexe. — Toi, t’as un de ces culs ! répond ...