BM... W la suite !
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... Jérôme en saisissant ma fesse à pleine main. Je vais être obligé de te sauter. Mes globes sont écartés au point de presque percevoir la puissance de son regard se poser sur mon anus. Mais déjà ses doigts me sondent avec douceur. Son gland dans ma bouche me stimule, je l’imagine déjà me pénétrant en quelques coups de reins. Ses deux doigts sont bien maigres, en comparaison de son sexe. Ils me permettent juste de m’assouplir, de me détendre. La glycérine fait des merveilles, car il suffit d’un peu de salive et “ça rentre tout seul”. — Si on allez dans le lit... suggère-t-il. On a baisé comme des lapins la première fois, un peu de confort nous permettra probablement d’en profiter davantage. Les lampes de chevet diffusent une belle lumière. D’un geste précis, Il retire la couette, découvrant notre espace de jeu. Sa belle queue qui se balance à chacun de ses mouvements retient toute mon attention, il ne faut pas que l’attente s’éternise. Comme il s’allonge en travers du lit, je m’agenouille entre ses jambes. Sa queue, qui n’a pas faibli d’un iota, bénéficie d’une bouche avide et débordante de salive. Je bave volontairement autour de son gland, en récupère sur mes doigts pour bien m’humecter l’anus. Le sucer, le violer, mon homme n’a qu’une seule verge, il me faut trancher. L’instant d’après, ma main le positionne à l’entrée de mon ventre pendant que Jérôme écarte mes fesses. Impatient, je pousse de toutes mes forces sur mon sphincter en me laissant glisser en moi. — Ce que tu es ...
... chaud... murmure mon amant en me sentant le phagocyter. C’est trop bon de retrouver ton ventre. Le temps n’est pas à la parole, mais à l’absorption. L’homme est gros, large, épais, ce qui nécessite un minimum de concentration lorsque son nœud est passé. De longues inspirations diluent les tiraillements. Conscient de son anatomie, il ne cherche pas à précipiter les choses et ne démarre que lorsque mon bassin ondule d’avant en arrière. Mes mains sur ses flancs, nous sommes immédiatement synchrones. Sa colonne me pénètre davantage à chaque aller-retour pendant que ma verge et mes bourses caressent son ventre dans ce mouvement alternatif. Quelle exquise sensation que celle d’un gland déformant sans violence mon rectum. Je ne céderais ma place pour rien au monde. — J’aime être pris tout en douceur pour sentir ta grosse queue dans mon ventre. Maintenant que la moitié de son sexe est en moi, je remonte jusqu’à sentir le chanfrein de son gland buter contre mon anneau pour redescendre d’une lente poussée. — Quel piston tu as ! ne puis-je m’abstenir de commenter. Ma prostate ressent clairement l’ourlet de son nœud au passage. Certains mecs, plus modestement membrés, me bassinaient pour me prendre. Je préférais mentir en prétextant ne pas trop aimer la sodomie. Mais en fait, c’est qu’ils leur manquait deux centimètres de diamètre, et je savais très bien qu’en les laissant faire, je risquais de m’ennuyer ferme. Pour qu’une sodomie soit jouissive, il y a deux critères : un diamètre qui ...