1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 585)


    Datte: 06/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... dernier ordre, ne fait qu’un tour dans ma tête, mon corps est tendu depuis quelques jours. Il est vrai, que je me suis fait plaisir ce matin même avant de prendre mon train, mais ce plaisir était court, et je n’ai pas vraiment atteint toute satisfaction. Je connais ma plus grande faille, il m’est très difficile de contenir un orgasme, et surtout lorsque je suis manipulée, et je me doute bien que ces trois gaillards qui vont me coller toute la journée, ne sont pas prêts à me laisser tranquille. De plus ce métayer pourra user de mon corps, s’il le veut, et peut-être même le propriétaire du sexshop qui doit certainement être dans le cercle des amis de Monsieur le Marquis. Je pince les lèvres à cette idée, mon bas-ventre rugit de plaisir. Je me sens devenir humide, rien qu’en imaginant ces cinq-là, passés leurs mains sur mon corps. Je tressaille, ferme les yeux, et tente de me reconcentrer sur la liste des courses : Plug vibrant - Bâillon à anneau - Pinces à seins - Boules de Geisha - 1kg de carottes et 1kg de concombres. - Et avant que je parte, tu vas nettoyer ta mouille qui a coulé entre tes cuisses, chienne. Ce lieu était propre, et je ne voudrais pas le rendre à son propriétaire, dans un sale état, parce qu’une chienne de ton espèce, ne sait pas retenir son excitation. Surprise, je rouvre les yeux, et baisse la tête. Je constate honteuse, une flaque de cyprine au sol, d’environ 5 cm de diamètre, située entre mes jambes. Je recule d’un mètre en arrière, et toujours sur mes ...
    ... genoux, je me penche en douceur, gardant l’équilibre, puis, je sors ma langue, et vient laper ma mouille. Le sol est froid, granuleux, mais ma mouille est agréable en bouche, légèrement visqueuse, tiède. Je nettoie le tout avec soin, puis, satisfaite de mon travail, je reprends ma position, un sourire aux lèvres, fière d’avoir obéit, je relève les yeux et cherche le Maitre. Dans un silence parfait, ce dernier a profité de cet instant pour s’éclipser. Je rage, Il est parti, sans m’avertir (normal, il n’a aucun compte à me rendre), me laissant dans cette position, ne m’assignant aucun geste, aucune autre parole. J’aurai aimé ressentir Ses mains sur ma peau, j’aurai aimé sentir Ses lèvres, j’aurai aimé… Mes pensées sont interrompues par une puissante main empoignant ma chevelure, et me force à me mettre debout. Visiblement satisfait de ma position, le Majordome passe ses mains sur les nœuds présents à mes poignets, et me libère… Un vieux fichu gris est à présent posé sur la table. L’homme toujours dans mon dos, m’ordonne de m’en vêtir. Déterminée, je fais un pas en avant, et attrape le vêtement. Intriguée par cette horreur de tissu, je la déplie, et remarque qu’il s’agit d’une toile de jute ayant l’allure d’une robe. Je me retourne, l’homme est toujours debout, attendant visiblement que je m’active, tandis que ces deux acolytes sont postés de part et d’autres de la porte par laquelle nous sommes rentrés. - Je refuse catégoriquement de porter cette horreur. - Très bien, Monsieur le ...