La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 585)
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Marquis m’avait prévenu que tu n’accepterais pas. Dans ce cas, à quatre pattes chienne. Il me faut un temps de réflexion, cherchant à comprendre ce que cela signifie. Sans prévenir, un claquement sourd résonne dans la pièce, je regarde l’homme au centre de la pièce, ce fameux Walter, qui tient à présent un long fouet, sorti de nulle part, entre ses doigts prêts à l’abattre sur moi. Un rictus sur ses lèvres, il me fait comprendre, que si je m’obstine, je risque de passer un mauvais quart d’heure. Je repose donc le vêtement avec délicatesse, le repliant comme il m’était présenté, puis, je me positionne en quadrupédie, tête baissée, la laisse pendant à mon cou. L’homme s’approche, s’accroupit devant moi, prend la laisse, se penche à mon oreille, puis il me chuchote dans un murmure à peine perceptible : - Je crois que je vais passer une après-midi des plus agréables, chienne. Je frissonne à ses mots, le feu présent dans mon bas-ventre me brûle de mille sensations excitantes, mes lèvres sont humides. Le Majordome se lève, et commence à avancer sans prêter attention à moi. Contrainte à le suivre, je me retrouve nue, portant un unique collier serti des Initiales MDE, à avancer à quatre pattes telle une chienne derrière un homme tenant ma laisse. A ma grande ...
... surprise, il se dirige vers une porte dissimulée par un rideau, l’actionne, des marches se présentent à mes yeux. Elles mènent visiblement vers un sous-sol. N’ayant jamais descendue des marches en quadrupédie, je me stoppe, par peur de trébucher. Walter ignorant mon arrêt, continue sa course. Un pied vient de s’écraser avec force contre mes fesses, je me retourne, les deux acolytes attendent visiblement que j’avance. J’assène un regard noir à celui qui a osé me frapper le fessier, puis je me décide, lentement, je commence à descendre les premières marches. Je comprends très vite que le Majordome a ralenti sa course, me laissant le temps de le suivre avec prudence. Arrivés à la fin des marches, j’ai envie de le remercier, mais il ne me laisse pas le temps d’agir, et me tire vers l’unique voiture présente dans ce sous-sol. Ignorante dans le monde de l’automobile, il m’est impossible de reconnaitre le modèle de ce gros véhicule noir brillant, bien à l’image du Maitre. Alors que je me place devant la porte arrière. Walter tire sur la laisse, et me fait faire le tour de la voiture, puis il s’arrête au niveau du coffre ouvert. Il donne un coup sec sur la laisse, me faisant comprendre qu’ici, dans ce coffre, est la place des chiennes lors des trajets… (A suivre…)