1. Bécassine (1)


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Chapitre 1 : Bécassine, la nouvelle collègue — Hé, vous avez vu la nouvelle ? — Ah ouais, putain, comment elle est bonne ! — Tu m’étonnes ! Vous avez vu cette paire de nibards ? Ils ont l’air bien ferme. — Ouais, carrément ; j’en avais la trique rien qu’à mater. Et ce cul ! — Ouais, j’lui donnerais bien la fessée. — Elle a quel âge d’après-vous ? Elle paraît quand même jeune… — Je n’sais pas ; la vingtaine, ou pas beaucoup plus. Ah si je n’étais pas marié et si j’avais 20 ans de moins… — Ne rêve pas, mon gars : avec ta tronche, tu n’as aucune chance. — Connard ! — Et vous avez vu sa bouche ? J’lui glisserais bien ma… — Merde. Chut, les gars, la voilà ! Quelle bande de blaireaux ! Tous des cons ! Agglutinés devant la machine à café comme à leur habitude, ils ne pensent qu’à une chose depuis que la nouvelle est là : la tringler. Ils me font pitié ! Des bêtes, rien de plus. C’est vrai qu’elle est très jolie avec sa longue chevelure rousse, son mignon petit nez pointu, ses mini-joues rondelettes et ses yeux verts. C’est vrai aussi que son corps est très désirable, que ses formes généreuses donnent plus qu’envie ; mais de là à se comporter comme des chiens affamés… — Alors, Bécassine, comment ça se passe ? — Salut, Bécassine. Alors, pas trop dur ? Tu t’en sors ? — Hé, Bécassine, je te paye un café ? — Dis, Bécassine, si tu as le moindre problème, n’hésite pas à venir me voir ; je me ferai une joie de t’aider. Tss ! Il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. Et elle qui a l’air de ...
    ... se plaire à être au centre de l’attention, qui joue la belle… Encore une de ces pimbêches qui doit avoir l’habitude que tout le monde soit à ses pieds et à qui tout réussit. Encore une de ces poufiasses qui me traitera comme de la merde parce que je ne suis pas assez bien pour elle, que je ne suis même pas assez digne de lui torcher le cul. Qu’elle aille se faire voir ! Je ne vais pas me donner la peine de lui courir après pour me ramasser des prunes. Je ne suis pas aussi pathétique que mes collègues. Je finis mon café dans mon coin et disparais en les laissant jouer à leur jeu puéril. Je n’ai pas de temps à perdre. Je le connais, ce genre de fille qui s’attend à ce que tu rampes à ses pieds, à ce que tu traverses les quatre coins du monde pour satisfaire le moindre de ses désirs et puis, dans ton dos, qui se fout de ta gueule et te traite de laideron (et encore, uniquement quand elle manque d’imagination pour décrire le dégoût que ta face lui inspire). Ouais, j’ai une sale gueule, mais je mérite quand même un peu de respect ! Enfin, sale gueule, tout est relatif. Certains diront plutôt que j’ai juste une gueule très marquée avec des traits durs et grossiers. Bon, c’est sûr que je ne plais pas à tout le monde, surtout à ce genre de princesse pourrie gâtée. Enfin bref, je retourne à mon labeur et tente de passer ma journée en ignorant les simagrées de mes collègues. Le lendemain, j’arrive au bureau prêt à supporter le même cinéma et tombe directement sur la rouquine. Je tente ...
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