1. Adeline petite soeur (9)


    Datte: 08/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Quelques mois passèrent et nous recommencions tant et plus tout ce que nous avions déjà expérimenté avec Adeline. L’unique bémol de tout cela est que, parallèlement à notre ascension amoureuse et sexuelle, s’accentuait le déclin de la santé maternelle. Elle nous quitta un dimanche, emportée par la maladie, en s’endormant pour la dernière fois sur son lit. Adeline était effondrée, et malgré ma force, mon rôle, j’eus bien du mal à supporter tout le poids de ce drame familial. Bien qu’adultes, nous étions orphelins. Le jour de l’enterrement, et même si nous étions entourés, nous étions seuls. Adeline blottie dans mes bras, anéantie, en pleurs, tenait à peine debout. Je tentais de rester de marbre, mais ce ne fut qu’en surface bien sûr. On peut être aussi heureux que possible, connaître l’effusion d’un amour inconditionnel, ce n’est rien comparé à la douleur qu’on ressent en de telles circonstances, rien comparé à celle de la personne qu’on aime et pour qui on ne peut rien, si ce n’est être là. Une fois tout le monde parti, nous restâmes encore quelques instants à nous recueillir. Ma petite sœur me demanda alors : « On va faire quoi maintenant ? ». La regardant sans trop savoir quoi lui répondre, je ne trouvais que ces simples mots : « je pensais déménager. Rester ici ne nous apportera rien de bon. Qu’en dis-tu ? — Et on ira où ? Tu as ton boulot, tu ne peux pas partir comme ça. — Ne t’inquiète pas pour moi, je trouverai une place ailleurs, ce n’est pas un problème. Je te ...
    ... demande d’y réfléchir ma chérie, je ne prendrai pas cette décision seul, nous devons la prendre ensemble, il faut qu’on tourne la page.» Puis m’adressant à notre mère de façon presque automatique : « Ne m’en veux pas maman, mais il le faut. Je veillerai sur Adeline et je te promets qu’il ne lui arrivera rien, quoi que nous décidions ». Nous nous embrassâmes alors devant la dernière demeure de notre mère, non comme un défi envers elle mais plutôt comme un ultime engagement d’amour, comme un serment qui ne saurait être rompu. Nous avions laissé l’année dite scolaire se terminer. En parallèle, j’avais prospecté puis trouvé une place pour mon boulot dans un autre département, et également un appartement dans une petite résidence. Profitant d’une semaine de vacances un petit mois avant tout changement, j’avais emmené Adeline avec moi pour visiter les lieux, prendre la température du coin et rencontrer ma future équipe de travail. Les études d’Adeline étant terminées, elle pourrait, le cas échéant, se mettre également à la recherche d’un boulot dans ses cordes. Mais ni l’heure ni le moral ne s’y prêtaient pour le moment. Elle était toujours en proie à la tristesse et hantée par le décès de notre mère. Je ne parvenais pas à la sortir de cet enfer, et même si cela n’avait pas d’importance pour moi, nos relations intimes s’en étaient trouvées radicalement diminuées. J’y avais même mis un terme (temporaire) voyant bien que nous nous donnions l’un à l’autre plus pour se faire plaisir que par ...
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