Elodie chérie (11) - Histoires de Sexe

Elodie chérie (11)

... m’allonge sur elle et la voila à nouveau pénétrée par mon membre gonflé et impatient. Elodie finit de m’enlever le pantalon, puis va s’asseoir dans un fauteuil pour se caresser entre les jambes, en m’observant les yeux mi-clos, aller et venir dans la chatte serrée de sa sœur, qui se pâme. Ma plus jeune fille se révèle très expérimentée pour faire l’amour et notre fusion est devenue totale. Nous roulons sur le tapis et je finis par me retrouver sur le dos. Aurélie me chevauche et entame une cavalcade effrénée sur ma bite. Elle s’y prend si bien que je n’arrive plus à me retenir et finis par éclabousser sa grotte de ma semence. Même si mon jus s’écoule de son vagin, elle continue à se faire l’amour sur moi comme une furie et ce, jusqu’à son extase. Epuisée après son violent orgasme, elle s’allonge sur moi et reprend son souffle avec peine. Ses premiers mots sont : « J’espère que tu ne m’as pas mise enceinte… » — Tu n’as pas de contraception ? Je croyais que tu prenais la pilule — Je ne la supporte plus et, normalement, j’ai toujours avec moi des préservatifs au cas où … — Aïe ! Je l’ignorais ! Espérons qu’il n’y aura pas de conséquences fâcheuses. Même si je sais qu’il existe des méthodes pour pallier cette éventualité, je me dis que ça ne serait vraiment pas de chance si je fécondais ma fille dès notre premier rapport. Elodie taquine, ou perverse, dit à sa sœur : « Papa va te nettoyer la chatte, il adore bouffer du jus de couilles ! Tu vas voir, il va tout lécher ...

... soigneusement sans rien laisser ! » Aurélie reste perplexe quelques secondes, mais se décide à m’offrir son abricot à dévorer. Elle soulève sa robe et me couvre le visage. Je n’ai pas le temps de détailler son entrejambe hormis pour constater qu’elle n’a effectivement pas de culotte et que sa chatte est totalement épilée. Elle ne déteste pas ma langue fureteuse qui s’applique à nettoyer consciencieusement chaque repli. Ce qui devait être une toilette intime se transforme en cunnilingus qui l’envoie une nouvelle fois, non pas au septième, mais au huitième ciel, tant elle jouit fort en m’écrasant le museau. À l’issue de quoi, elle ahane : « Ouah ! Papa comme c’était bon ! » Arrive-t-elle à dire entre deux souffles. Après une petite toilette, je propose à mes deux filles de fêter ces retrouvailles en allant au restaurant. Elodie en est ravie et propose que nous invitions Linda à se joindre à nous. Est-ce une nouvelle provocation de sa part ? Pas du tout me certifie-t-elle en ajoutant : « Elle fait un peu partie de la famille désormais… » Quand je l’appelle, la belle transsexuelle est enchantée de notre proposition et… vers vingt heures nous passons la chercher. Toujours d’une élégance rare, Linda nous apparaît rayonnante ! Il se passe alors une chose impensable quand je présente Aurélie à Linda ! Toutes deux restent les yeux dans les yeux plusieurs secondes, il semble y avoir un arc invisible qui ionise l’air entre elles. Je crois bien qu’Elodie et moi assistons à un coup de foudre ...