Elodie chérie (11) - Histoires de Sexe

Elodie chérie (11)

... peu inquiet de l’absence prolongée de mes filles, je vais toquer à la porte de la chambre où elles sont enfermées. C’est Elodie qui me répond « qu’elles arrivent tout de suite …». Quand mes filles apparaissent, je note qu’Elodie tient sa sœur par la main. Je suis complètement stupéfait par la tenue d’Aurélie. Elle a troqué l’habituel accoutrement des jeunes filles d’aujourd’hui, à savoir : jean et basket, pour une tenue extrêmement féminine qu’a dû lui prêter ma petite chérie. Ma plus jeune fille porte une robe qui lui arrive à mi-cuisses, bas et talons hauts. En outre, elle a coiffé ses cheveux en chignon, s’est maquillée, porte les longues boucles d’oreille et un joli collier appartenant à Elodie. Je sens Aurélie crispée en s’approchant de moi, tenant toujours la main de sa sœur. Mon amour me dit alors, avec un regard complice : — Ma sœur est triste et aurait besoin que tu la câlines. Comme je ne suis pas dupe de cette incitation, je demande sur un ton complaisant : — C’est vrai, ça Aurélie ? Tu veux que je te fasse un gros câlin ? — Oui papa … Répond-elle, peut-être faussement timide. Elodie me fait comprendre en quelques signes qu’elle a convaincu sa sœur de se laisser séduire. Je m’approche de la petite femme et l’enlace. Son corps est raide comme un bâton quand je la serre dans mes bras. Elle pose la tête sur mon torse, sans oser bouger. Pour la rassurer, je caresse délicatement et très érotiquement sa nuque découverte et je sens Aurélie se détendre progressivement. ...

... Je pose ensuite une main dans le bas de son dos et presse son corps contre le mien, sans cesser de flatter sa nuque. Ses bras jusqu’alors le long de son corps m’enlacent et je remarque nettement que sa respiration se modifie. Aurélie se love davantage contre moi en minaudant et j’en profite pour lui déposer des petites bises dans le cou qui finissent de la chavirer. Elle ferme les yeux quand je lui soulève le menton pour poser mes lèvres sur les siennes. Elle n’a alors pas de doute sur mon intention et, brusquement, se saisit de ma nuque pour m’embrasser avec passion. Je la serre très fort contre moi et ma bandaison qui s’écrase sur son ventre ne peut lui échapper. Aurélie devient féline en ondulant son petit corps contre le mien. Elle me surprend quand elle m’attrape par le cou et saute sur moi pour m’entourer les hanches de ses jambes. Je la retiens par les cuisses et reprend notre baiser enflammé. Mon Elodie chérie s’agenouille à mes pieds, puis ouvre ma braguette pour libérer mon sexe tendu afin de le guider vers l’antre de sa sœur. Ma petite ne doit pas porter de culotte car je ne sens aucun obstacle entre mon bout et sa vulve chaude. Aurélie s’empale d’elle-même et, telle une acrobate, arrive à monter et descendre sur le vit qui la perfore. Même si elle est de petit gabarit, elle n’en est pas moins lourde à soutenir. Tout en la portant, je me dirige vers le salon et l’allonge sur le tapis (qui en a vu d’autres). La manœuvre m’a fait sortir d’elle, mais très vite, je ...