1. Histoire alternative (7)


    Datte: 08/02/2019, Catégories: Transexuels

    ... c’est bon, putain que c’est bon, mais qu’est-ce que je suis conne !Ouiiiii, continue, plus fort ! Je ne pige plus rien. Ça me perturbe un peu, mais je continue mon œuvre. Elle se tortille, gémit de plus en plus fort. Elle caresse frénétiquement son clitoris. Soudain, je la sens se contracter. Elle jouit avec un bruit de gorge rauque, comme un cri étranglé. Sa respiration se bloque. Ma queue est enserrée dans un étau pendant de longues secondes à l’issue desquelles, elle se dégage brutalement et de s’étale sur le divan ou elle reprend lentement son calme. — Oh mon Dieu, que c’est bon… Elle me regarde avec un sourire étrange, comme si elle avait vu le messie. Je ne comprends pas ce qui s’est passé. D’une certaine façon, c’est la première fois que je baise avec une fille, et je n’avais pas imaginé que çà commence par une sodomie sauvage. Je suis toujours aussi raide et çà tombe bien, car elle semble prête pour un second round. Mais cette fois, elle s’allonge sur le dos, cuisses bien ouverte avec un regard étrange, comme une mante religieuse prête à dévorer son mâle… — Viens… me dit-elle. Alors je viens… Sa chatte est rasée, son minou discret, presque menu. Je vais la prendre en missionnaire et déjà, elle a passé ses bras autour de mon cou et ses jambes se replient sur mes fesses. Sa chatte est brillante, elle ruisselle. Je m’y positionne, caresse les lèvres du bout de ma queue puis écarte les chairs. Mais quelque chose cloche, je sens une résistance. Mince ! Elle est vierge ! ...
    ... Stupéfait, j’ai suspendu mon mouvement, presque un recul. Mais Guylaine me bloque avec ses jambes. Elle passe ses bras autour de mon torse, elle m’attire, elle ne veut pas que je batte en retraite… Elle m’embrasse. — Viens, reprend t-elle tendrement. Je veux que ce soit toi. Prends-moi… Je suis médusé. Jamais je ne me serai attendu à cela. J’hésite quelques secondes. Je veux être pleinement conscient de ce que je vais faire. Je vais commettre le pire crime que puisse faire un homme : je vais tuer une enfant. Et de ce crime, une femme va naître… Alors je la perfore. Je ressens comme un claquement… Guylaine s’est crispée, pousse un cri. Ses ongles se sont enfoncés dans ma peau. Je suspens ma poussée. Je la sens se relâcher, puis une nouvelle fois… — Viens... Avec toute la douceur dont je suis capable, je progresse lentement dans son intimité, jusqu’à ce que nos deux pubis se retrouvent en contact. Chaque centimètre de pénétration lui a généré un gémissement. Je suis aux anges. C’est doux, chaud, serré, incroyablement humide. Chacun de mes mouvements lui fait pousser des petits cris. Ce soir, je me comporte en homme. Et mon plaisir monte progressivement. Mais je me retiens. Je veux la faire jouir à nouveau. Ses petits cris se muent progressivement en soupirs d’aise, puis en gémissements et halètements de plus en plus fort annonçant l’orgasme tout proche. Je me suis retenu autant que j’ai pu. Lorsque elle se crispe à nouveau tout en grondant comme une tigresse, me lacérant le dos ...
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