1. Hélène 10. Le corset


    Datte: 09/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mon dos, j’entends la jeune femme qui chuchote à son compagnon  Tu t’intéresses aux pétasses, maintenant ? J’en connais un qui va dormir sur la béquille. Nous rentrons en vitesse, mon chauffeur laisse la voiture en vrac dans la voie de la maison et m‘ouvre la porte. Enfin, je le plaque contre le mur de l’entrée. Je me retourne en le coinçant avec mes fesses. Je tends ma tête en arrière pour qu’il vole mes lèvres. Je prends sa main et la glisse dans mon corsage. Ses doigts agacent mon mamelon érigé. Je ressens des petites décharges électriques. Je manifeste mon bonheur en lui balançant des petits coups de cul dans son bassin. Encore un patin, mieux une galoche et je le tire vers la chambre. Nous n’y arriverons pas. En passant par le salon, il me pousse contre le dossier d’un fauteuil et me plie en avant, il défait le gros grain de ma jupe, et la fait tomber. Je l’envoie valser d’un coup de pied. Je sens ses doigts qui crochent la rosace de mon rosebud. Une traction, mon sphincter se dilate et je sens une sorte de courant d’air. Cette impression ne dure pas. Mon coquin m’encule à sec. Ses mains sont sans emploi, mon corsage s’envole, et il s’emploie à me tirer mes tétons, presqu’ à les arracher. Prise par derrière, étirée devant, je ne peux résister à la vague qui m’emporte. Je m’écroule, au moment où son propre plaisir rompt les digues et m’inonde. Nous glissons par terre, les jambes coupées. Je laisse ma tête glisser sur son épaule, ...
    ... nous reprenons notre souffle. Je balaie la pièce des yeux. Les chaussures, le chemisier, mes talons, ma jupe, le pantalon et le caleçon de mon voyou jonchent le sol au hasard de notre précipitation. L’œil rouge de mon bijou me lance un regard plein de reproches, comme s’il regrettait son nid douillet. Nous éclatons de rire de concert Mon chéri se lève, il me redresse. - Attends, je vais ranger, - Laisse, j’ai pris mon vendredi, je rangerai demain matin. Fait-il - Et le rosebud, dis-je avec un air coupable. - Je le mettrai demain dans le lave-vaisselle. - J’aimerai bien voir la tête de ta femme de ménage quand elle rangera la plonge. Comme à mon habitude, je le devance dans l’escalier. Je fais rouler ma croupe. Je sais ce qui m’attend. Ça tombe bien, j’ai encore faim. La proposition de Christine m’avait profondément troublée. Une semaine après notre visite, en l’absence de Pierre, je me suis rendue sur son site. J’y suis à peine restée, mal à l’aise. Puis j’y suis retournée plusieurs fois, fascinée par ces corps exhibés, fouettés, écartelés, agenouillés, presque séduite par l’esthétique des photographies. Ce jeudi, après le déjeuner, je tourne et je retourne la carte de Christine entre mes doigts. Une boule au ventre, je me décide, et je pianote le numéro. - Bonjour, vous êtes bien chez Christine, je suis indisponible, mais laissez un message….. Je raccroche, finalement assez soulagée. Je vais poser mon portable quand celui-ci sonne….. A suivre 
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