1. BM... W


    Datte: 15/08/2017, Catégories: hh, hbi, grossexe, parking, Oral hdanus, hsodo,

    Généralement, c’est moi qui prends les devants : je quitte. Là, allongée contre moi, Gaby m’annonce avec sérénité qu’elle désire mettre un terme à notre relation, invoquant le fait qu’on n’ira jamais plus loin « nous deux ». Pour ma part, les choses étaient claires dès le départ, nous prenions du plaisir ensemble, et puis « nous verrons bien où cela nous mène ». Aujourd’hui, il n’y a plus rien à voir, de toute évidence. Ce petit bout de femme brune d’à peine 1,60 mètre au corps d’adolescente m’avait plu au premier regard. Son regard de braise, ses cheveux noirs aux reflets de jais la rendaient simplement irrésistible, je n’avais pas hésité longtemps pour l’aborder et lui faire la cour. Femme de caractère, ce n’est pas le premier soir que je l’avais conquise, ni le deuxième d’ailleurs. Chose originale, elle m’avait embrassé passionnément alors que je la déposais devant chez elle, justement à l’issue du deuxième rendez-vous. Ma main se posa alors délicatement sur son ventre plat, tout en savourant ses lèvres. M’imaginant déjà la découvrir quelques minutes plus tard, mes doigts remontaient lentement vers ses seins. Une fois que ma main fut parvenue à destination, elle me demanda si je bandais. À ma réponse positive, elle me dit alors : — Branle-toi, là, devant moi ! Déstabilisant, pour le moins, ce genre de demande. J’eus beau essayer de la convaincre de monter chez elle, ou bien de venir chez moi, rien à faire. Néanmoins, je m’exécutai, espérant… qu’elle change d’avis. Le ...
    ... siège en bascule de quelques degrés, je dégrafai mon bénard, baissai mon caleçon, et ma queue bandée bondit hors de sa cage. Ses commentaires furent aussi hot qu’élogieux, puis de nouveau, elle m’intima l’ordre de me branler devant elle. Voyant qu’elle ne lâcherait pas, je me mis en branle de la main gauche, persuadé qu’en lui caressant le dos, ses lèvres viendraient à mon secours. C’est bien la première fois que je me branle au premier rendez-vous. Enfin, devant ma conquête, car en principe, c’est juste après lorsque l’on n’a pas pu conclure ! Ma main coulissait régulièrement sous le regard fixe de Gaby tandis qu’elle m’invitait à lui montrer ma jouissance. Elle consentit à poser sa tête contre mon torse, ce fut ma condition pour jouir, sous peine de tout remballer. Ses cheveux dans mon visage, je m’enhardis quelque peu, et c’est en l’étreignant fort contre moi que je lui balançai en plusieurs salves mon plaisir en plein visage. Ce n’est que le lendemain que je découvris son corps d’antilope, et ce fut également la dernière fois que mon sperme se perdit en sa présence. Pour l’heure, c’est notre complicité qui s’abîme. Son désir de construire est plus fort que nos orgasmes, je peux le comprendre, et ne tente d’ailleurs pas de lutter : la coupe est fêlée, les dés jetés. Comprenant que Gaby ne plaisante pas, je me lève, enfile mes vêtements, dépose un tendre baiser sur ses lèvres pulpeuses, et sans un commentaire, me retire dans la nuit, la mort dans l’âme. Une rupture, provoquée ...
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