1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (14)


    Datte: 09/02/2019, Catégories: Trash,

    Bordeaux, 31 janvier, 17 heures. Le taxi se gara devant le pavillon de banlieue ; la lumière était allumée sur le perron car la nuit commençait déjà à tomber. Mélanie paya et récupéra sa grande valise à roulettes, remercia le chauffeur, puis marcha jusqu’à la porte d’entrée en tirant son lourd bagage. Sans qu’elle ait à sonner, la porte s’ouvrit et Arnaud Lenoir s’avança, obstruant l’entrée de sa carrure puissante. — Bonjour, 32. Bien sûr. C’était son numéro d’esclave. Comment aurait-elle pu l’oublier ? Il était gravé dans sa chair depuis bientôt quatre ans, et il s’en servait déjà pour la mettre dans l’ambiance. — Bonjour, Monsieur. — Alors, tu as réfléchi, dans le train ? — Oui, Monsieur. Thomas, votre fils, me laisse entièrement libre de mes choix. J’accepte de vous servir et d’être votre esclave pendant toute la durée de ma scolarité à Bordeaux, sous certaines limites. — D’accord, vas-y... — Mais... Nous ne pouvons pas entrer ? Il fait froid et il bruine. — Je m’en fous, je suis à l’abri. Donne ton manteau, puisque tu commences déjà à couiner. La jeune femme baissa les yeux, troublée. Ça y était, ça recommençait. Elle sentit son ventre se nouer, d’appréhension et d’autre chose de plus trouble. Se mordillant la lèvre inférieure, elle déboutonna son gros manteau et le tendit à l’homme qui grimaça en découvrant ses vêtements. — Bravo ! Un jean, un pull informe... Enlève tout, et vite ! — Bien Monsieur. Tout ? hasarda-t-elle. — Tu m’as entendu. Crispée, les joues brûlantes, ...
    ... Mélanie hocha la tête. Les yeux baissés, elle se déshabilla lentement, posant ses vêtements sur sa valise. Une fois nue, naturellement, elle prit la position d’attente, pieds écartés d’un mètre ou presque, mains dans le dos. Ses épaules se couvrirent aussitôt de chair de poule sous les assauts de la bise chargée d’humidité. — Tu es toujours aussi belle, petite pute, avec tes gros nichons de salope et ta bouche de suceuse. — Merci, Monsieur. — Bon, alors, c’est quoi tes limites ? — Oui, Monsieur... Pas de marque visible, pas de blessure occasionnant un arrêt de travail. Tout le temps nécessaire pour travailler, accès illimité à Internet, tenues neutres pour aller en cours. J’aurai bientôt un stage de plus de cinq mois chez un avocat Bordelais, mais d’abord j’ai mes cours qui commencent ce lundi à l’école de la Magistrature. Je dois acheter une petite moto ou un scooter pour circuler dans Bordeaux, il faudra une place pour l’abriter. Et... Thomas ne veut pas que vous preniez mon vagin. J’ai remis les tunnels, j’ai un cadenas dans mon sac, à votre convenance. — Bien. Entre, pose tes affaires dans ta chambre, puis va dans le salon, position numéro deux. — Oui, Monsieur. Mélanie tira sa valise dans la chambre qu’elle partageait avec Thomas quand ils descendaient ensemble de Paris, plia ses vêtements sur une chaise avant de descendre dans le salon. Elle prit aussitôt la position demandée, frissonnant encore malgré la douce chaleur de la pièce. Elle attendit longtemps, essayant de ...
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