1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (14)


    Datte: 09/02/2019, Catégories: Trash,

    ... et gonflée. — Tourne-toi, à genoux et suce ma bite, petite chienne. Et couvre-la de salive, c’est le seul lubrifiant que tu auras pour ton cul. — Oui Monsieur. Elle s’exécuta rapidement. Lenoir faillit éjaculer prématurément quand Mélanie engloutit sa volumineuse bite jusqu’à la garde et qu’elle leva les yeux vers lui. Des yeux noyés de larmes mais comblés. La bouche démesurément ouverte, les lèvres plongées dans les poils pubiens, elle pompait et déglutissait pour masser l’épais engin. Proche de la jouissance, celui-ci gonflait encore et surtout gagnait encore en raideur, obstruant complètement la gorge de la jeune fille dont le visage se cyanosait. Ce que voyant, Lenoir plaça ses deux mains sur la nuque et interdit tout retrait. — Les mains croisées dans le dos, tu me laisses baiser la bouche. Bave bien, après, c’est pour ton cul. Obéissante, Mélanie contint sa volonté de retrait et se laissa aller, privée d’oxygène jusqu’au moment où sa vision s’est obscurcie. Puis son beau-père l’a libérée et elle s’est écroulée, aspirant une énorme goulée d’air, suffoquant et pleurant. Mais déjà l’homme la bousculait vers l’avant et forçait ses reins. Bien que Mélanie soit coutumière des sodomies avec Thomas, elle cria quand le puissant rostre la transperça. Bien vite, alors que Lenoir s’était planté au plus profond, la douleur initiale fut remplacée par une sensation de plénitude. Le jolie blonde se cambra et s’offrit, bras tendus devant elle, joue sur le sol ; Lenoir empoigna ses seins ...
    ... et les tordit cruellement, arrachant une long gémissement à sa proie. Mais il n’aurait su dire si ce gémissement prenait sa source dans la douleur ou bien dans le plaisir. Un peu des deux, sans nul doute. Dès lors, il la pilonna en l’insultant et en la rabaissant, sa verge épaisse coulissant aisément dans l’anus complaisant. Quand il éjacula à grosses rasades dans les intestins de la belle, elle fut parcourue de spasmes de plaisir qui lui arrachèrent gémissements et cris. Ils s’écroulèrent sur le sol, essoufflés, couverts de sueur ; il l’écrasait de son poids mais elle ne s’en plaignait pas, au contraire elle le surprit en prenant la parole quand il se souleva. — Je vous remercie, Monsieur. Vous m’acceptez chez vous après tout ce temps, vous prenez la peine de me dresser et de me punir. J’essaierai d’être digne de vous, de vous servir et vous obéir de mon mieux. L’homme se releva, respirant encore un peu vite, et considéra la jeune femme prostrée à ses pieds. Le dos luisant de sueur, les fesses méchamment striées de bistre, les cheveux emmêlés, les yeux injectés de sang et le visage rouge et souillé, les lèvres gonflées et tremblantes, elle était magnifique. — Je vais me doucher. Nettoie les saletés que tu as faites et tu te laveras après. — Bien Monsieur. En serrant les dents, Mélanie se redressa et se rendit dans la buanderie. Armée d’une serpillière et d’un seau d’eau, elle entreprit de nettoyer soigneusement le sol, à genoux et toujours nue. Après sa douche, Lenoir passa ...