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La déchéance du cocu (8)
Datte: 10/02/2019, Catégories: Trash,
... façon claire elle décidait et l’excitait. J’aurais tellement aimé cela ! Surtout quand elle lui demanda de l’enculer à sec, et lui répondant qu’elle s’en foutait s’il déchirait son préservatif. Les câlins reprirent une bonne partie de la nuit, mais je n’avais aucune idée de l’heure, je ne sentais que mon cul complètement explosé. Je me demandais si je retrouverais l’usage de celui-ci un jour. La couche était remplie et commençait à être lourde et humide, j’avais mal aux épaules, j’étais mal avec ma reine juste à côté de moi, avec un autre homme. Cela m’excitait. Au matin la lumière passe à peine au travers de la cagoule, alors que Julie entre dans le dressing prendre ses affaires de la journée. Avec horreur je devine que Laurent est juste à côté d’elle et pourtant il ne dit rien. Ils font tous les deux comme si j’étais transparent. C’est encore pire que d’être humilié devant lui, je ne suis plus rien. La lumière s’éteint, je panique, j’ai la gorge sèche et besoin de boire. Je me rendors. La lumière se rallume, Julie est là avec un grand biberon, elle soulève ma cagoule, enlève mon bâillon, ma bouche reste ouverte d’avoir été aussi contrainte, et verse le contenu du biberon dans ma bouche assoiffée. Je bois son champagne avec le double bonheur de m’hydrater et de la boire, jusqu’à ce que le biberon soit vidé. Julie me remet le bâillon et rabaisse la cagoule, et me susurre à l’oreille qu’elle est contente que j’aime tant l’urine du matin de Laurent, et s’en va pour la journée, sans plus se soucier de moi. Je pleure doucement d’humiliation, et de me sentir abandonné. J’essaie de me raisonner, mais attaché dans le noir, à nouveau bâillonné, je sombre dans le désespoir.