1. Un rendez-vous chez le dentiste


    Datte: 10/02/2019, Catégories: fplusag, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, extraconj,

    Antoine était un jeune coursier de vingt-neuf ans qui avait été embauché depuis peu dans une société d’étude et de construction de villas de luxe. Une entreprise qui marchait bien : offrant des prestations très haut de gamme à des clients fortunés, elle intervenait essentiellement dans l’Ouest parisien. Le travail d’Antoine était très varié, allant de la simple course administrative, jusqu’au transport de matériaux ou d’outils entre les différents chantiers. Mais ce qu’il préférait avant tout, c’était de jouer le rôle du chauffeur qu’on lui faisait parfois tenir quand il fallait emmener quelque client VIP pour une visite de chantier ou de villa modèle. Alors, il laissait de côté son vieux Citroën Berlingo de livraison pour s’installer, avec un plaisir immense, au volant de la confortable berline de la société. C’était une belle Audi noire à l’intérieur cossu, où planait un délicieux et subtil parfum de cuir. Antoine, amoureux de belles voitures, n’aurait jamais pu s’offrir un tel objet, aussi appréciait-il à leur juste valeur ces moments privilégiés. Ce matin-là, alors qu’Antoine rentrait au bureau après sa première course de la journée, l’hôtesse d’accueil lui apprit que le patron voulait le voir tout de suite. — Et il a pas l’air de bon poil, lui précisa-t-elle en fronçant les sourcils. Il se demanda ce que le « vieux » pouvait bien lui vouloir. Qu’avait-il pu faire pour mériter la colère du boss. Il se repassa le film de la journée d’hier, mais n’y trouva rien qui eut pu ...
    ... prêter à critique. Monsieur N. était un homme au caractère bien trempé, commandant tout son petit monde avec une poigne de fer et ne souffrant aucune contestation. La soixantaine bien sonnée, les cheveux grisonnants, un peu bedonnant, mais la démarche toujours volontaire, le patron était craint de tout le personnel et rares étaient ceux qui osaient lui tenir tête. Aussi Antoine, jeune employé fraîchement arrivé dans la société, était-il dans ses petits souliers lorsqu’il frappa à sa porte. — Ah, Antoine, entrez… Asseyez-vous. Le patron c’était renversé dans son fauteuil et considéra Antoine d’un regard insistant et d’autant plus gênant pour ce dernier qui s’attendait à quelque réprimande. — Alors Antoine, comment allez-vous ?— Ça va, monsieur N.— Ça fait combien de temps que vous êtes chez nous ?— Ça fait six mois, monsieur N.— Et comment ça se passe avec vos collègues ?— Bien, monsieur N. Je… Il n’eut pas le temps de finir sa phrase ; son patron le coupa : — Assez de cérémonie, appelez-moi Jean-Paul, dit-t-il découvrant un large sourire. Antoine souffla. Apparemment le « vieux » n’était pas fâché après lui. Le patron poursuivit sur un ton enjoué : — Et vous vous plaisez chez nous ?— Ma foi oui, monsieur Jean-Paul. Le travail me plaît bien.— Jean-Paul !… Pas monsieur Jean-Paul, s’écria-t-il ! Puis il continua : — On m’a dit que vous étiez amateur de belles autos. Est-ce vrai ?— Ah ça oui, reprit Antoine soudain heureux de parler de sa plus grande passion, surtout les voitures ...
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