Un rendez-vous chez le dentiste
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
fplusag,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... nuage, qui laissait augurer une chaude journée. Le soleil, déjà haut dans le ciel, réchauffait l’atmosphère et finissait de sécher les rues fumantes des pluies de la nuit. Antoine conduisait glace ouverte, le bras à la portière, se laissant guider par son GPS dans cette ville de l’Ouest parisien qu’il ne connaissait pas du tout. Ce n’était que larges avenues bordées de grands arbres le long desquelles s’alignaient de grandes propriétés souvent dissimulées derrière de longs murs en meulières ou de hautes haies. Il trouva un charme certain à cette ville cossue, avec ses plans d’eau artificiels où glissaient cygnes et canards, et ses vastes espaces verts. Il y régnait une sérénité rassurante et tout incitait à la flânerie. Malgré la pénible perspective de la corvée qui l’attendait, il appréciait cette promenade dans ces beaux quartiers, si éloignés de son univers habituel de banlieue populaire. Il arrêta son Berlingo devant une grande propriété fermée par de hautes grilles. Derrière s’étendait un vaste jardin planté de marronniers centenaires au fond duquel on distinguait, entre les arbres, une superbe villa en pierre et briques rouges. Cela correspondait bien à l’adresse que son patron lui avait indiquée. Il sonna donc à l’interphone. — Oui, répondit une voix féminine ?— Je viens de la part de monsieur N. Je suis Antoine D.— Ah oui, très bien. J’ouvre la grille. Entrez votre voiture et venez vous garer devant la maison. La massive grille, mue par une force invisible, bascula ...
... lentement sur ses gongs avec un léger grincement. Antoine entra son Berlingo dans le jardin et suivit l’allée qui serpentait entre les grands arbres jusque devant le perron. C’était en effet une très belle maison de maître, élevée sur trois niveaux, avec sur le côté, une haute tour à poivrière d’inspiration Viollet-le-Duc. Les bruits de la ville parvenaient assourdis en ce lieu où régnait une paix que seuls les piaillements des oiseaux troublaient. Antoine grimpa l’escalier du perron, en forme de fer à cheval. En haut une jeune femme lui tendit la main. — Bonjour, commença-t-il, je dois emmener madame N…— C’est moi-même, l’interrompit-elle. Il n’en crut pas ses yeux. La personne qu’il avait devant lui ne devait pas avoir plus de quarante ans, c’était une grande blonde aux longs cheveux dont les boucles rebelles s’étalaient sur ses épaules. Lui aurait-on dit qu’elle fût top model dans une autre vie qu’il n’en aurait pas été plus étonné.Eh bien, se dit Antoine en pensant à son patron,il ne s’emmerde pas le « vieux »… Le salaud ! Elle pourrait être sa fille ! — Entrez, je vous prie. Je passe une veste et je suis à vous. Il la suivit dans l’entrée, le regard rivé sur son superbe postérieur serré dans une jupe noire moulante. Elle avait de longues et belles jambes mises en valeur par de fins escarpins dont les talons claquaient sur le dallage de l’entrée. Il se dégageait une telle classe de cette femme d’une élégance raffinée et qui marchait un peu à la façon des mannequins, qu’il ...