1. Un rendez-vous chez le dentiste


    Datte: 10/02/2019, Catégories: fplusag, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, extraconj,

    ... beau, lui dit-elle en écartant cette main intrusive. Puis elle lui murmura à l’oreille : — Il ne faut pas brûler les étapes… Elle l’embrassa sur la joue, lui prit la main et la posa sur le volant : — Allez. Il va être temps de rentrer, monsieur mon chauffeur ! Tout le long du trajet, Antoine ne cessa de jeter des regards concupiscents sur les cuisses découvertes de sa passagère, risquant même une caresse de temps à autre. — Tiens tes mains sur le volant, veux-tu, lui dit-elle au bout d’un moment. Ça vaudra mieux. Tachant d’oublier sa timidité et tentant de se montrer à la hauteur de cette petite dévergondée, il parvint à la tutoyer lui aussi : — Qu’est-ce que tu me racontes ? Il y a une minute tu m’exhibais ton porte-jarretelles et ton joli petit string et tu voudrais que je reste de marbre ? Elle ne répondit pas, se contentant de lui sourire. Tout à sa joie de constater qu’Antoine commençait à se lâcher, elle fit en sorte de ne pas laisser retomber la pression en prenant soin de maintenir sa robe bien retroussée. Elle eut même très envie de poser sa main sur le pantalon de son chauffeur, histoire d’éprouver la rigidité de son sexe, mais elle se ravisa. Ne brusquons pas les choses, se dit-elle. Une honnête femme ne prend pas la bite d’un homme qu’elle ne connaît que depuis une semaine ! Ce beau garçon lui faisait tourner la tête, mais elle n’était tout de même pas une petite écervelée en chaleur. Ils arrivèrent bientôt à la propriété. Pascale actionna la télécommande et la ...
    ... lourde grille s’ouvrit pour laisser passage à la Z4. Il la gara devant le perron et lui proposa de l’aider à décharger le coffre. En descendant de voiture, elle lui montra encore très généreusement son entrecuisse et Antoine se remit à bander de plus belle. — Tu es terriblement sexy, lui dit-elle. Ils déchargèrent les courses et les déposèrent dans la vaste entrée. Ils n’avaient maintenant plus qu’à se séparer, mais Pascale tenait à lui faire un petit cadeau à sa façon, afin de lui laisser un souvenir inoubliable. — Je te remercie, commença-t-elle en se rapprochant de lui. Tu es gentil. S’approchant toujours plus, elle lui fit le regard sans équivoque de la femme qui désire un baiser. Leurs lèvres se rapprochèrent imperceptiblement, puis se touchèrent. Antoine enlaça alors sa partenaire et mêla sa langue à la sienne. Ce fut un baiser plein de feu. Il la serra très fort contre lui, sentant ses seins s’écraser contre sa poitrine, tandis qu’elle lui passait ses bras nus autour du cou. Antoine était au comble de l’excitation et son sexe se sentit tout à coup très à l’étroit dans son pantalon. Cette petite bourgeoise était furieusement bandante ! Tout en continuant à l’embrasser, il caressa son dos nu, puis ses mains descendirent sur ses fesses, qu’il pétrit sans retenue. Elles étaient à la fois tendres et fermes. Il ressentait une telle excitation qu’il n’avait désormais plus aucun complexe. Il remonta la robe jusqu’à ce qu’il sentit le contact du string. Ce dernier était doux ...
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