Un rendez-vous chez le dentiste
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
fplusag,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... bestial et délicieux, comme elle n’en avait plus connu depuis bien longtemps. — Arrête, lui cria-t-elle ! Mais lui n’avait aucune intention d’arrêter. Bien au contraire, il voulait qu’elle hurle de plaisir, qu’elle ne fût plus capable de réagir, qu’elle devienne « sa chose »… — J’en peux plus … souffla-t-elle. Arrête, je t’en supplie ! Enfin, il mit fin à son doux supplice et relâcha son étreinte. Elle se retourna, déposa un baiser sur ses lèvres et lui dit : — J’avais oublié qu’on puisse jouir à ce point. Merci, mon chéri. Puis elle hésita et finit par lui dire un « je t’aime mon amour » qui bouleversa Antoine tant il paraissait sincère. — Baise-moi maintenant. J’n’en peux plus ! … Je te veux… tu m’as rendue folle ! Antoine, gêné, l’avertit qu’il n’avait pas de préservatif sur lui. — Ça ne fait rien, répondit-elle.— Mais il peut y avoir des risques de… Elle ne le laissa pas terminer sa phrase : — De contamination ? Ne t’inquiète pas… Je savais qu’on baiserait aujourd’hui, mon grand, alors je suis allée faire un test VIH cette semaine… et tout va bien, lui chuchota-t-elle à l’oreille.— Mais moi ?… je n’ai pas fait de test !— Ta sollicitude me touche beaucoup, mon chéri. Tu es gentil, lui dit-elle en lui déposant un baiser sur les lèvres. Mais je m’en fiche … j’ai trop envie de toi… baise-moi maintenant. Elle lui saisit la bite afin d’en éprouver la rigidité, constatant avec satisfaction que son érection n’avait pas molli, la masturba tout de même un peu, lentement, puis elle ...
... se retourna, s’appuya au plan de travail de la cuisine, écarta largement les jambes et l’appela : — Je t’en supplie, baise-moi maintenant… Je le veux… Je veux sentir ta queue dans mon vagin… Viens vite. Une telle supplique venant d’une si jolie femme eut transformé n’importe quel homme en taureau furieux. Antoine en oublia tout scrupule et désormais ne pensa plus qu’à ça lui aussi. Il avait déjà les yeux rivés sur ces superbes fesses appétissantes, qui étaient à elles seules une véritable invitation à baiser. Il s’approcha par-derrière, glissa sa queue entre les cuisses chaudes de sa partenaire, la guida vers sa vulve et la pénétra d’une seule poussée. Sa chatte était tellement trempée que la verge s’enfonça jusqu’au bout sans la moindre résistance. Puis, la maintenant fermement par les hanches, il commença à la pilonner avec l’énergie du mâle fou de désir. Son plaisir fut immense et il fut surpris de constater que cette jolie petite bourgeoise en porte-jarretelles et escarpins, qui semblait plus que jamais aimer la queue, l’excitait beaucoup plus que sa Carole. Bientôt, il sentit que le point de non-retour était atteint et qu’il n’allait pas tarder à jouir. Pascale, de son côté, était au paradis. Malgré sa position inconfortable, appuyée au plan de travail de sa cuisine, elle jouissait de sentir la bite de son bel Antoine aller et venir en elle, une bite qu’elle avait tant désirée, une bite qui lui semblait énorme tant elle avait l’impression d’être totalement remplie. Elle ...