1. Un rendez-vous chez le dentiste


    Datte: 10/02/2019, Catégories: fplusag, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, extraconj,

    ... savez ce que c’est, on attend toujours le dernier moment pour prendre rendez-vous. Durant le trajet, ils firent connaissance, ou plutôt devrait-on dire, ce fut surtout Madame qui questionna son chauffeur. La jeunesse et le charme de son chauffeur ne la laissaient pas indifférente et elle voulait tout savoir sur lui. — Vous travaillez depuis combien de temps pour mon mari, Antoine ? Absorbé par la conduite de la belle auto, il ne répondit pas tout de suite. — Vous permettez que je vous appelle Antoine ? Bien sûr qu’il permettait. Partagé entre le plaisir de sentir tant de chevaux sous l’accélérateur et celui de jeter de temps en temps un furtif coup d’œil sur les élégantes jambes de sa passagère, il se sentait le cœur léger. Il lui expliqua comment il était entré dans la société et ce qu’il y faisait. Madame N. était de plus en plus sous le charme. L’observant toujours discrètement, elle constata que son chauffeur avait de longues mains fines qui manipulaient avec habileté le volant et le changement de vitesse. Elle continua son interrogatoire : — Vous êtes marié, Antoine ?— Oui et j’ai deux enfants : Hugo, deux ans et Émilie cinq ans.— Félicitations, fit-elle… Puis elle marqua une pause.— Vous avez bien de la chance… continua-t-elle.— Je n’ai pas à me plaindre. Elle marqua une nouvelle pause, puis reprit : — C’est pas comme nous… Nous n’avons pas eu d’enfant… J’aurais pourtant tant aimé en avoir. Je… Elle ne finit pas sa phrase et marqua un long silence comblé par le seul ...
    ... ronronnement du six cylindres. Antoine s’apprêtait à lui demander pourquoi, mais il se reprit, pensant qu’après tout cela ne le regardait pas. Elle continua : — Vous êtes marié depuis longtemps ?— Ça fait six ans… Et vous, madame ? … Euh, je veux dire, si ce n’est pas indiscret, se reprit-il prudemment.— Bien sûr que non, voyons Antoine… Ça fait déjà bientôt vingt ans, répondit-elle soudain songeuse et les yeux dans le vague. La compagnie du jeune homme lui était si agréable qu’elle se sentit bientôt avec lui comme avec un vieil ami auquel on a l’habitude de se confier. Elle finit par lui raconter sa rencontre avec Jean-Paul, un intime de son père qui était souvent invité à déjeuner à la maison. Parfois même, il passait le week-end en famille dans leur maison de campagne. — J’étais bien jeune, continua-t-elle. Une jolie jeune fille d’à peine dix-huit ans, qui bien innocemment séduisit cet homme de près de quarante ans. Je l’ai laissé me courtiser, fière de voir ce bellâtre à l’allure sportive, et qui représentait pour moi un certain d’idéal masculin, s’intéresser à l’insignifiante adolescente que j’étais. Se tournant vers elle, Antoine croisa son regard et crut y lire une certaine mélancolie.Quels beaux yeux, pensa-t-il. Elle poursuivit : — C’est lors d’un de ces week-ends à la campagne que les choses se sont précipitées. Mes parents étaient partis faire quelques courses et nous avaient laissés seuls à la maison. Jean-Paul s’est montré ce jour-là beaucoup plus empressé que ...
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