Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 11/02/2019,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
intermast,
Oral
pénétratio,
mélo,
... Je te raconterai ce soir. Bisous beauté.— Pas de blague ne la torture pas ! À ce soir, méchant loup. Aline n’avait rien entendu de cette conversation car elle cherchait dans l’armoire à clefs celles des appartements qu’elle ferait visiter tout à l’heure, ce qui n’avait pas été sans faire quelque bruit. Vers 18 h Nicolas Lemoine revint comme convenu. Pierre qui était aux cotés de sa secrétaire proposa à celle-ci de la remplacer pour la visite puisqu’il était libre. Vivement, elle l’assura que cela ne lui posait pas de problème. Il avait remarqué sur les deux visages que sa proposition ne soulevait pas l’enthousiasme. Cela l’amusa beaucoup. — Si ces deux là ne se revoient pas en dehors du travail, je me fais moine, pensa-t-il en les regardant partir. Arrivés devant l’immeuble ils en firent le tour. Construite il y a très longtemps, la maison avait eu la chance de garder un grand espace vert. En centre ville le fait était assez rare pour être noté. Le jardin ne présentait pas d’intérêt autre que de bien dégager le bâtiment et de permettre d’en bien voir l’architecture. On pouvait y garer facilement autant de voitures qu’il y avait d’appartements. Le premier appartement était au rez-de-chaussée. Petit studio de 20 mètres carrés environ il pouvait très bien convenir en solution de dépannage. Refait et fonctionnel il était particulièrement clair. Le second lui faisait face, plus grand il comportait une chambre. Plus adapté pour quelqu’un souhaitant éventuellement recevoir ...
... quelques amis, il plut mieux à Nicolas. Quand au troisième il était à l’étage le plus élevé. Il s’agissait des anciens combles qui avaient été aménagés avec beaucoup de goût. Une chambre assez grande avec salle de bain et un dressing, un grand séjour salon avec une cheminée, une belle cuisine et un grand débarras composaient un ensemble agréable, et lui aussi bien ensoleillé et très lumineux. — Celui ci me plaît bien dit Nicolas. J’imagine que c’est aussi le plus cher.— Effectivement. Trois cent quatre vingt euros par mois, plus les charges. Elles sont peu élevées. Mais par rapport aux deux autres il n’est pas cher.— Vous y vivriez, vous, ici ?— Ma foi, si je n’avais pas toujours habité en maison individuelle, il me séduirait assez.— Donc vous me le conseillez ?— C’est vous qui y habiterez, pas moi. À vous de choisir.— Il est libre de suite ?— Sans problème. Vous signez, vous donnez une caution, je vous donne les clefs et vous n’avez plus qu’à emménager.— Pas de difficultés pour se garer dans le quartier ?— Non, vous avez bien vu le parking en bas.— Je n’ai pas fait attention.— Venez à la fenêtre, je vais vous montrer. Ils se retrouvèrent cote à cote à la fenêtre du séjour qu’Aline ouvrit. Penchés vers le jardin elle lui montra les places de stationnement. Aucun des deux ne chercha à éviter le contact de leurs deux corps. Leurs hanches, leurs bras, leurs épaules se touchaient. Ils ne bougeaient plus, ne parlaient plus. Ils étaient conscients de ce qui se passait et, comme en début ...