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Six jours dans la vie d'une femme (5)
Datte: 11/02/2019, Catégories: Erotique,
... moi ! — Que me veux-tu encore ? — Je... j’ai besoin de vous parler. Je peux entrer ? — Nous n’avons plus rien à nous dire. Rentre chez ta mère, allez, file ! Je ne veux plus te revoir. — S’il vous plaît ! Je resterai là jusqu’à ce que vous m’ouvriez, je vous le jure. — Si tu insistes, j’appelle la police. — Je m’en fiche. Je leur raconterai notre... nuit et ce sera tant pis pour vous. J’ai tout mon temps. Ouvrez-moi et dans cinq minutes, je suis parti. — Arrête ! Je t’ai dit non ! Inutile d’insister. Elle s’est détournée du petit écran qui reflète l’image du garçon ! Renaud qui revient à la charge lui fout la trouille. Comment s’en sortir avec cet énergumène ? Elle n’a pas vraiment le temps d’y réfléchir vraiment. Derrière la baie vitrée de la salle à manger donnant sur la pelouse, le gaillard est là ! Il a sauté la barrière et s’est donc introduit sur leur propriété. Elle ne peut rien faire, surprise par la témérité du jeune homme. Elle vient en traînant les pieds, affronter l’intrus. — Bon ! Cette fois tu dépasses les bornes. J’appelle les gendarmes pour de bon. — Attendez ! Je suis venu vous dire que... que je vous aime. Je suis amoureux de vous et c’est pire depuis que nous avons... — Ça ne te donne aucun droit sur moi. Et tu n’as aucun respect pour ta parole, pas plus que pour la vie privée des autres. Tu n’es qu’un voyou. Depuis le début du dialogue, elle n’a pas seulement pensé qu’elle se trouvait toujours nue. — Ouais ! Un voyou qui t’a bien baisée, hein salope ! À ...
... ces mots, Laure a fait volte-face. Celui qui les prononce n’est pas son interlocuteur. Le sale type du bistrot du jour du marché, celui qui était le plus véhément, le plus violent verbalement également, se trouve là. Cette fois elle a très peur. Elle tente désespérément de cacher à la vue des deux jeunes sa chatte, qu’ils reluquent sans vergogne. L’autre la toise avec un regard qui laisse à penser que ses intentions ne sont pas particulièrement sympathiques. — Qu’est-ce que vous faites là vous ? Tu as ramené ce voyou chez moi ? Vous allez déguerpir et plus vite que ça. — Calme-toi mémère ! On dirait que tu nous attendais dans une tenue... Nous, on est pacifiques. On veut juste te baiser un petit coup et comme tu es apparemment prête... Renaud a eu sa part et largement si ce qu’il nous a raconté est véridique. Traîner à poils dans ta baraque te va bien. Tu as un sacré beau cul ! — N’importe quoi ! Qu’est-ce que tu as raconté à tes potes comme salades ? Ne me touchez pas. — Ben, on va peut-être attendre que l’avocaillon t’appelle au téléphone, il parait que tu es bien plus docile. Et puis on lui dira comment tu te laisses grimper par le gamin de tes voisins... à moins que... tu ne sois très gentille. lxmlqqrs — Non ! Je me fiche de ce que colporte ce petit con de Renaud. Je ne vous laisserai pas me toucher. Et cette fois, j’appelle la gendarmerie — Barrons-nous Cyril ! Barrons-nous ! Je n’ai pas encore envie de voir les flics débarquer dans ma vie — Calme-toi ! Tu vois bien ...