Philippe, mon voisin impitoyable - Partie 4
Datte: 11/02/2019,
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Dans la zone rouge,
... fois-ci. Il continua comme ça jusqu’à enfoncer entièrement sa bite dans mon anus. Il me labourait sauvagement tout en me balançant des obscénités. J’avais trop mal pour essayer de bouger. Cependant, plus il continuait ses allées et venues, plus mon cul s’habituait à son invité indésirable. -Rah bon dieu ! T’as le cul tellement serré, c’est trop bon… Il allait de plus en plus vite, était de plus en plus impitoyable mais les grognements qu’il poussait me rendait folle. La main avec laquelle il m’avait bâillonné étouffait mes cris et mes gémissements, ce qui rendait le moment encore plus excitant. Décidément, j’avais vraiment perdu la raison. Par esprit de vengeance, je lui mordis la main mais il ne sembla même pas le sentir. Soudain, ses grognements se firent plus graves et plus bestiaux. Il plaça ses mains sur mes hanches et enfonça ses doigts dans ma chair puis il éjacula bruyamment dans mon cul avant de s’écrouler sur moi. Lorsque nos respirations reprirent leur rythme normal, il se redressa pour ensuite s’allonger sur le lit alors que je restais là, agenouillée contre le bord du lit, son sperme s’écoulant de mon trou endolori. Lorsque j’eus repris assez de force pour me lever à mon tour, je constatais que Philippe me fixait et que son regard noir n’avait pas disparu du tout. Je m’avançais vers lui mais il rompit le silence : -J’ai envie d’être seul ! dit-il d’un ton méprisant. Tu dormiras dans n’importe quelle autre chambre et tu peux aussi te servir à manger, à boire…bref, ...
... fais comme chez toi. -Tu te fiches de moi là ? demandais-je choquée. -Non, j’ai juste pas envie de te voir ! répondit-il en sortant la clé de je ne sais où. Comme je ne bougeais toujours pas, il se leva du lit, attrapa mes chaussures que j’avais retiré en entrant puis me traina hors de la chambre avant de refermer la porte à clé derrière moi. -NON MAIS TU TE FICHE DE MOI, hurlais-je en tambourinant sur la porte, les larmes aux yeux. ESPÈCE DE CONARD, T’ES QU’UN CONNARD. Après deux bonnes minutes d’acharnement sur cette malheureuse porte qui nous séparait, humiliée comme jamais, je décidais de quitter les lieux. Je ne savais pas où aller à une heure pareille. Pas chez moi car vu l’état dans lequel je me trouvais je ne voulais pas que mes parents me posent des questions. Mais sur le moment je m’en fichais, je voulais juste sortir d’ici. Lorsque je fini de rassembler mes affaires, je me rendis compte que la porte d’entrée de l’appartement aussi était verrouillée et que c’était Philippe qui avait la clé. A bout de nerf, je me laissai glisser contre la porte et je pleurais un bon coup le plus silencieusement possible. Lorsque je réussi à me calmer, je me rendis dans la salle de bain afin de prendre une douche puis je tentais ensuite de m’endormir dans la chambre la plus éloignée de celle où se trouvait Philippe. Il était déjà 2h du matin. J’étais allongée en position fœtale mais je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Si la façon dont Philippe me traitait lorsqu’il me baisait, au ...