1. Philippe, mon voisin impitoyable - Partie 4


    Datte: 11/02/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... fond, m’excitait comme une malade, la manière dont il m’avait chassé de sa chambre m’avait beaucoup blessé. C’était un gros connard, le roi des salauds et moi une pauvre idiote. Mes pensées furent interrompues par le bruit de porte de la chambre. Il était là. Je pouvais l’entendre se rapprocher. Le lit s’enfonça sous son poids et il s’allongea juste derrière moi. -Morgane, chuchota-t-il, je sais que tu ne dors pas ! Mais je ne bougeais pas. Il s’approcha alors de moi et me caressa les cheveux avant de m’embrasser sur la joue. -Je te demande pardon Morgane, me murmura-t-il à l’oreille. -Tu es le pire des salauds que j’ai rencontré de toute ma vie, lui lançais-je. -Je sais ! Je suis un vrai salaud avec toi et je suis désolé. Mais tu me rends complètement dingue Morgane… Il passa sa main sous ma nuisette pour me caresser le ventre puis il descendit jusqu’à mon pubis et glissa un doigt dans ma fente tout en me léchant le cou. Il savait exactement où et comment me toucher pour m’exciter. Doucement, il me fit basculer sur le dos puis il s’allongea sur moi. Il remonta ensuite ma nuisette jusqu’au-dessus de mes aisselles. -J’ai pas du tout envie, lui dis-je en essayant de l’arrêter. -Attends, laisse-moi faire ! Il pencha sa tête sur ma poitrine et attrapa le bout de mon sein gauche avec ses lèvres avant de le sucer pendant qu’il caressait mon autre mamelon. Je commençais à me détendre un peu. Il suça ensuite mon autre sein puis m’embrassa le ventre et les hanches jusqu’à descendre ...
    ... sur mon pubis rasé. Délicatement, il m’écarta les cuisses pour se loger entre elles. Lorsque je senti sa langue titiller mon clitoris, je saisi les barreaux du lit des deux mains et je fermais les yeux. C’était vraiment trop bon, je ne pus m’empêcher de soupirer de plaisir. Il passa ensuite sa langue sur les lèvres de ma chatte en feu avant de me pénétrer. Je me cambrais aussitôt. Il me lapa le sexe pendant vingt bonnes minutes, me donnant ainsi plusieurs orgasmes. Finalement, nous nous endormîmes vers 3h du matin. Lorsque je me réveillais, il était déjà 10h passé. La nuit dernière avait été très mouvementée, j’étais épuisée et j’avais assez mal au cul à cause de la correction qui m’avait été infligée. Je décidais donc de ne pas aller en cours. Philippe lui était déjà levé. Je le trouvais dans la cuisine en train de cuisiner. Lorsqu’il eut terminé, nous mangeâmes tranquillement en discutant. Une question qui m’avait semblé insignifiante plus tôt me revint soudain : -Comment tu as justifié ton absence auprès de ta femme ? -Nathalie sait que j’ai une maitresse, mais elle ne sait pas que c’est toi, me répondit-il après un moment d’hésitation. -Et elle ne doit jamais le savoir ! lançais-je mal à l’aise. Jamais. J’étais la maitresse de Philippe ! Bien sûr, je le savais, mais l’entendre à voix haute, ça me faisait bizarre. Vers midi, Philippe me ramena chez moi en voiture avant de se rendre à son bureau, où il n’allait que très rarement, tandis que je passais le reste de la journée à ...