1. Une première dans le train


    Datte: 12/02/2019, Catégories: hh, hplusag, train, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral

    Qu’est-ce que je fais dans ce train de banlieue, un dimanche matin de bonne heure, je déteste les transports en commun. Une fâcheuse panne de voiture en est la cause, pourtant malgré cet avatar je suis ravi, car à côté de moi est assis un jeune homme de 20 ans qui répond au doux prénom d’Aurélien. Ce garçon n’a pourtant pas tous les critères de beauté, grand, fin comme un haricot vert, cheveux bruns longs, la peau très blanche, par contre de beaux yeux bleus cachés par des lunettes de vue d’une autre époque, mais ce qui le caractérise c’est son extrême timidité. Pourtant, pour la première fois de ma vie, je suis attiré par cet homme, sans le vouloir il a mis le trouble en moi. Sa mère l’avait obligé à venir faire de la marche dans notre club de randonnée pédestre, cette femme veuve depuis de nombreuses années, élevant seul son fils en avait assez de le voir passer son temps devant son ordi enfermé dans sa chambre. Nous sommes un groupe d’une trentaine de joyeux marcheurs, une très grande majorité de femmes, trois bons hommes composent la minorité. Aurélien a eu des difficultés d’adaptation, puis il a pris de plus en plus de plaisir à nos randonnées, bien sur il n’est pas très bavard, mais des liens d’amitié se sont créés, surtout avec moi, j’ai réussi à installer un climat de confiance. Il a commencé à me faire des confidences, sa souffrance due à sa timidité qui engendre des problèmes de communication, son isolement. Un jour, alors que nous marchions loin devant le ...
    ... groupe (on nous surnomme les speed), la conversation a dévié sur des sujets plus intimes. Avec gêne il m’a avoué ne jamais avoir flirté avec une fille. Après avoir repris sa respiration, il m’a confessé dans un flot de paroles ininterrompues son attirance pour les garçons, qu’il passait son temps sur Internet à regarder les sites gays, et à se masturber en fantasmant d’avoir une verge en bouche, de se faire caresser, sodomiser. Il y eu un moment de silence entre nous, j’étais très ému, je l’ai remercié de sa confiance. Mais moi aussi j’avais une confidence à lui faire. Malgré mes 52 ans, une femme charmante, je rêvais aussi de connaître l’amour au masculin. Je pris quelques secondes car j’avais la voix tremblante pour lui demander si je l’attirais physiquement et s’il était d’accord pour avoir notre toute première expérience ensemble. Hélas il ne m’a pas donné de réponse, comme nous avions nettement ralenti le pas, le groupe nous avait rattrapés. Les jours suivants, notre conversation m’avait perturbé, je me posais mille questions, est-ce qu’il l’avait bien pris ? Il ne veut plus me voir ? J’ai été peut être trop direct ? J’étais très mal à l’aise. Notre groupe était invité à un week-end de marche, organisé par un club pédestre de seine et marne. Pris par des obligations, je devais les rejoindre le dimanche, seul car mon épouse s’était fait une entorse. Deux jours avant, Aurélien me passa un coup fil pour me demander si je pouvais passer le prendre car lui aussi était occupé le ...
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