1. Une première dans le train


    Datte: 12/02/2019, Catégories: hh, hplusag, train, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral

    ... samedi, la joie se lisait sur mon visage. Vous connaissez la suite, panne de voiture et nous voilà dans ce train. Il n’y a pratiquement personne dans le wagon, je compte 4 voyageurs, nous nous installons dans le fond, loin des autres usagers, on ne parle pas, chacun attend l’initiative de l’autre, je me décide : — Tu sais pour l’autre jour ! Il n’attend pas la fin de ma phrase et dans un souffle : — Je suis d’accord ! Nous nous regardons en souriant, nous sommes assis côte à côte, lui à ma droite, nous avons en perspective tout le wagon, seul nos têtes dépassent du dossier de la banquette, je lui pose tendrement la main sur le genoux, je suis à même la peau car il est vêtu seulement d’un tee-shirt et d’un bermuda, je le caresse doucement, ma main remonte délicatement vers le haut de la cuisse, le tissus est très léger, je sens qu’il tremble, mon audace me surprend, je ne me croyais pas capable de prendre une telle initiative, me voilà à l’entre cuisse, il n’est pas indifférent, il bande ce petit cochon. A travers le tissu, j’essaie de m’imaginer la grosseur de son sexe, je lui pose la main carrément dessus, je le masse, elle parait longue. Difficile à savoir, enveloppé dans son paquet cadeau. La situation est très excitante, personne dans cette rame ne s’imagine qu’il se passe des choses sur la banquette du fond. Je suis très à l’étroit dans mon bermuda, le sexe triomphant, j’aimerais qu’il me caresse, il reste figé, les bras ballants de chaque côté de ses cuisses. Ma main ...
    ... passe sous le maillot avec difficulté, je déboutonne son bermuda, je descends le zip de sa fermeture éclair, mes doigts fébrilement se faufilent sous l’élastique du slip, je tremble aussi, c’est la première fois que j’empoigne un sexe de mec autre que le mien. Au toucher je trouve ça agréable, comme je l’avais deviné elle est longue et fine, je le masturbe avec délicatesse, Aurélien écarte les jambes, ferme les yeux, le charme est rompu le train s’arrête dans une gare. Une bande de jeunes se sont installés près de nous, Aurélien n’a pas eu le temps de se rhabiller. Il baisse son tee-shirt par dessus, croise les jambes, les apparences son sauves, je le sens contrarié, il boude. La chance est avec nous, enfin seuls, plus de voyageurs, la campagne défile autour de nous, je me lève, je regarde dans le wagon à côté, vide, je me rassois, nos regards se croisent, nos bouches, nos langues se mélangent, c’est aussi agréable qu’un baiser de femme, on se dévore littéralement, puis une nouvelle fois le train s’arrête, par la fenêtre des champs à perte de vue, le conducteur du train nous annonce un incident sur la ligne, arrêt indéterminé. C’est un signe du destin, un vent de folie s’empare de nous, je me mets à genoux, lui retire son bermuda, il me dit : — Tu es fou si quelqu’un venait ? Je ne lui réponds pas et lui baisse son slip, comme il ne fait rien pour m’en empêcher, j’estime que son envie est la plus forte, j’ai un peu de mal à passer la barrière des chaussures, mais le voilà cul ...