Justine à Paris (6)
Datte: 13/02/2019,
Catégories:
Trash,
Je suis un peu sonnée mais j’obéis machinalement. Il s’enfonce d’une seule poussée, tenant ma nuque pour prévenir tout retrait. Malgré des haut-le-cœur, j’essaie de me décontracter. Ma gorge est vite douloureuse sous ses coups de boutoir sans finesse. Il utilise ma bouche comme il l’a fait précédemment de mon vagin et mon anus, à fond et sans fioritures. Des larmes ruissellent sur mes joues, mes yeux doivent être injectés de sang, ma vue est brouillée alors qu’il m’impose toute la longueur de son braquemart géant. À ma surprise, il se retire sans avoir joui ; je m’écroule quand il me lâche, toussant et bavant, la respiration hachée. — Je vais me finir en te détruisant la chatte ou le cul. Tu préfères quoi ? Bonne question, mes voies sont en feu, mon anus semble à bout tellement il l’a malmené. Mais mon vagin a été forcé si loin qu’une douleur sourde pulse dans mon ventre. Il va recommencer ? Que lui dire ? — Comme tu veux, Jonah, comme tu veux. J’ai chargé des deux côtés, mais j’ai autant aimé à chaque fois. — D’accord ; je vais revisiter ta chatte, voir si je peux aller encore plus profond. Il me jette sur le lit sur lequel je reste étalée, je suis complètement atone, sans force. Il me positionne tête posée sur le drap et cul levé, les cuisses à l’équerre. Je pousse un hurlement quand il s’enfonce d’une violente poussée rectiligne et que son gland vient buter contre le fond. Il est si gros que mes muscles intimes, déjà sollicités durement un peu plus tôt, se distendent à ...
... se déchirer. Mais cet orifice est prévu pour l’accouchement et bien plus souple qu’on ne croirait. Il s’ouvre à l’intrus et le lubrifie de cyprine. Je hoquette à chaque ruade, mon ventre s’ouvre à nouveau pour accueillir toute la longue et épaisse colonne de chair. Malgré la souffrance réelle, malgré mes sanglots et mes supplications, je reste offerte indécemment aux assauts brutaux qui me ravagent. Soudain je jouis bestialement, des étoiles plein les yeux, juste avant qu’il se vide à son tour. De moi-même, je viens entre ses jambes quand il s’est retiré pour nettoyer sa verge majestueuse de toute trace de stupre. — Bonne petite salope ! Je te laisse dix minutes pour te rafraîchir avant de t’envoyer Marco et André, les deux frères. Ne me déçois pas, tu n’aimeras pas la punition sinon. Ensuite, tu satisferas mes amis, ils viendront par trois à la fois. De mieux en mieux, trois à la fois ? D’un autre côté ça prendrait moins de temps... J’ai du mal à marcher tellement je souffre d’une douleur lancinante dans les fesses. Je me douche rapidement, tâtant prudemment mon anus boursouflé qui ne se referme pas, mes lèvres intimes gonflées et rouges. Pas de doute, j’ai chargé. Je me demande comment je vais pouvoir satisfaire tous ces hommes qui attendent pour me baiser. Je pousse un gros soupir ; je sais déjà que les heures à venir vont être difficiles. Quand les derniers amis de Jonah partent après avoir usé et abusé de mon corps, je suis au-delà de la fatigue, prostrée sur les draps ...