1. Un été caniculaire 2


    Datte: 13/02/2019, Catégories: ffh, Oral pénétratio,

    — Oh… hummmm… tu vois Joe, j’ai eu raison d’insister ! Je m’effondrai sur le lit, le cœur battant, en sueur. Nadia s’écroula sur Nivea, haletante, leurs deux corps luisants de transpiration. — C’était génialissime ! quel coup d’enfer, ton mec ! fit Nadia.— Merci… grommelais-je en reprenant mon souffle. Les draps du lit étaient complètement défaits, les oreillers avaient valsé hors du lit. Par la fenêtre, la nuit s’étendait, calme, profonde. Le ventilateur aérait la pièce. Nivea vint se nicher dans le creux de son épaule, tandis que sa copine se redressait, se passant les doigts sur le visage pour récolter mon sperme. Elle s’enfila les doigts dans la bouche et les suça. Je passai une main dans le dos de Nivea et l’embrassai. — Tu vois, on a passé une bonne soirée ! fit-elle avec un petit sourire complice.— C’est vrai, répondis-je. Nadia se releva et alla plonger la main dans son sac, d’où elle tira une cigarette. Elle se mit à la fenêtre pour fumer. — Heu… Tu devrais peut-être pas te mettre à poil à la fenêtre, ils sont oufs les gars par ici ! dis-je.— Bah, ils en ont vu d’autres… rétorqua-t-elle. Je regardai son corps basané, ses cheveux ondulés, sa taille de rêve, ses fesses bombées. — T’es vraiment une pure bombe.— Merci. Pourtant au début, t’en doutais un peu… c’était pas gagné d’avance !— Faut bien changer d’avis un jour ! répondis-je. Je regardai Nivea. — Mais toi aussi ma chérie, tu es une véritable bombe anatomique. Je l’embrassai à nouveau, tout en lui caressant un ...
    ... sein. Nadia se retourna vers nous, cigarette au bec. — Alors, tu me considères toujours comme une salope ? m’interrogea-t-elle.— Non, plutôt comme une fille ouverte… très ouverte !— Faut bien s’éclater tant qu’on est jeunes, enchaîna Nivea. Elle passa une main sur mon torse. — Bon, j’aimerais bien prendre une douche… fit Nadia.— Pourquoi ? De toute façon, on va recommencer, non ?— Hum… tu vois que ça t’a plu, Joe ! répliqua Nadia. Mais je voudrais quand même passer sous l’eau.— Ok, vas-y, c’est en face de la chambre. Nadia sortit donc de la chambre. — Quelle salope, quand même ! dis-je.— Allons bon, Joe ! fit Nivea.— C’était très agréable. J’ai adoré. Nivea vint se mettre au-dessus de moi et enfonça sa langue dans ma bouche. — Moi aussi, m’annonça-t-elle, je vais en prendre une. Ne te sauve pas sans nous !— Bon, mais c’est pas vrai ! qu’est-ce qu’elles foutent ! fis-je au bout de vingt minutes. Faut pas tant de temps pour prendre une douche ! Je me levai, nu, et je sortis de la chambre. La porte de la salle de bain était entrouverte : il en sortait une légère vapeur. Je toquai à la porte. — Vous vous êtes endormies ou… J’entendis un gémissement et me rendis alors compte, vu le bruit, que le pommeau de la douche coulait à flots. Je passai la tête dans l’entrebâillement. — Et bah je comprends mieux… Elles étaient debout toutes les deux, dans la baignoire remplie à ras-bords. Nadia penchée en avant. Nivea tenait le pommeau de douche dans sa main et arrosait le corps trempé de ...
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