Un été caniculaire 2
Datte: 13/02/2019,
Catégories:
ffh,
Oral
pénétratio,
... en plus vite, ressortant parfois ma verge de sa bouche pour la lécher. — T’es experte ! murmurais-je en lui caressant les cheveux.— Tiens c’est agréable des compliments, d’habitude c’est plus "Vas-y suce moi bien salope" ! répliqua-t-elle. Nivea se pencha pour se joindre à sa copine. Elle se mit à donner de petits coups de langue sur mes testicules qui étaient tous gonflés et tous durs. C’était divin. — Je vais venir, prévins-je les filles. Oh c’est trop bon ! Et effectivement, le sperme gicla dans la bouche de Nadia, m’arrachant un gémissement d’extase. Elle me garda en bouche pour récolter toute ma semence. Tandis que je m’écroulai sous la force de mon orgasme, les deux filles s’amusèrent à jouer avec mon sperme, se le prenant dans la bouche, avant de se rouler une pelle baveuse. — J’y crois pas comme vous êtes salopes !— Oh, Joe, tu remets ça ! fit Nadia. Nivea eut un sourire, tout en se passant la langue sur les lèvres. — Mais il aime ça, crois-moi… Je m’étirai et me levai soudainement. — Bon les filles, je vais aller a carrefour faire des provisions pour la journée. Vous voulez quoi comme boissons ?— Ice tea, rétorqua Nivea. Et toi Nadia ?— Coca s’il te plaît.— Ok. Je pris des vêtements propres dans ma commode et me dirigeai vers la salle de bains. Une fois lavé, rasé et habillé, je rejoignis les filles qui étaient toujours au lit. Nadia tournait les boutons de ma chaîne hi-fi. — Hé les nanas, il serait peut-être temps de se remuer !— Mouais… fit Nivea en caressant la ...
... poitrine de sa copine.— Mais vous êtes infatigables ma parole ! Je pris de l’argent et mon portable, et fourrai le tout dans la poche arrière de mon jean. — Bon j’y vais… Ne traînez pas trop ! Je me penchai pour embrasser Nivea et, au bout d’un instant, fis de même avec Nadia. — Me voilà avec deux femmes sur les bras ! ricanais-je. Il y avait un monde pas possible aux caisses. Surtout au moins de dix articles. Avec un soupir, je me plaçai donc dans la file, mes bouteilles casées dans un de ces paniers bleus qu’on prenait à l’accueil. L’attente allait être pénible… et les filles qui étaient toutes seules à la maison ! Sûrement en train de faire des conneries… — Hé, Joe ! Des doigts me tapotèrent l’épaule. Je me retournai. C’était Djamila, une fille que je connaissais depuis deux ans. Elle travaillait comme "roller" dans ce magasin. Elle n’était pas très grande, mais le proverbe : "tout ce qui est petit est mignon" s’appliquait sur elle… force dix ! C’était une véritable bombe : un beau visage rieur aux yeux marron, aux traits bien dessinés. Ses cheveux teints en blonds retombaient sur ses épaules, plats. Un beau corps, ravissant, et surtout un sourire à faire fondre l’Antarctique ! Elle était Algérienne, âgée de vingt ans. Tous les hommes présents ne pouvaient s’empêcher de la regarder. — Hé, Djamila ! Tu vas bien ?— Et toi ? Nous nous fîmes la bise. — Tu travailles toute la journée ? lui demandais-je.— Ouais, je finis à dix-sept heures. Par cette canicule c’est pas top. Et ta ...