1. Love in Médina


    Datte: 15/08/2017, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Sexe Interracial,

    Je m'appelle Christine, j'ai 40 ans et j'habite une petite ville de l'aube. Je suis marié à un mari imaginatif avec qui je mène une vie sexuelle plutôt active. Voici ce qu'il m'a fait vivre il y a moins de dix jours alors que nous visitions Rabat, dernière ville de notre séjour de quinze jours au Maroc. Nous avions une journée complètement libre dans le planning (un peu trop chargé à mon goût) organisé depuis Paris par mon mari. Nous résidions dans un hôtel de luxe du centre ville. Rabat est une très jolie petite ville où les différents quartiers s'assemblent grâce à de larges zones de verdure. Nous avions décidé d'aller dans la Médina, la vieille ville où les petites rues succèdent aux artères plus larges aux échoppes abondantes. Toutes les senteurs, toutes les visions du Maroc traditionnels sont là à portée de pas de notre hôtel si moderne. Mon mari et moi flânions, d'échoppe en échoppe, découvrant au hasard des rues les cavernes d'ali baba des vendeurs de tapis. Nous nous sommes attardés un peu plus sur un magnifique tapis de laine orange aux motifs géométriques qui était pendu dans l'entrée d'une de ses vieilles battisses. Aussitôt bien sur, le marchand, un homme d'une cinquantaine d'année à l'air affable, nous proposa immédiatement de décrocher le tapis pour que nous puissions l'observer à notre guise. Il joint immédiatement le geste à la parole et nous nous retrouvâmes, malgré nous ou presque, à l'intérieur de la maison. La maison était construite de telle sorte ...
    ... qu'un grand puits de lumière inondait les trois étages qui regorgeaient de tapis. Nous étions étonnés de trouver de si grand volumes intérieurs cachés derrière cette si petite entrée. Déroulé devant nous, le tapis, sous l'unique rai de lumière devenait plus beau. Il nous plaisait. Le marchand, qui nous dit s'appeler Ali gardait un sourire large en même temps qu'il nous expliquait l'origine de ce tapis. Je posai des questions sur l'entretien quand je remarquai dans la pénombre plusieurs autres hommes assis, dos contre le mur. Je sentais leur regard sur moi, je rougis un peu sans savoir pourquoi quand je m'aperçu que depuis tout à l'heure, je passais accroupi, plus ou moins devant eux. Presque à quatre pattes pour relever les bords du tapis. Ce jour là, j'étais vêtue d'une robe longue sans manche, en jeans léger, boutonnée de haut en bas par le devant. C'était début juillet et il faisait déjà très chaud ; aussi je n'avais rien mis d'autre dessous que mon slip et son soutien gorge assorti. Autant dire que je venais de me rendre compte que ces hommes depuis une bonne dizaine de minutes me regardaient m'agiter, cuisses apparentes… devant eux. Mon mari d'ordinaire si vigilant aux regards que les autres hommes pouvaient poser sur moi ne s'apercevait de rien, tout occupé à avaler un verre de thé à la menthe brûlant qui venait de nous être offert. Ali nous invita à nous asseoir et nous rejoignîmes le coin où les autres hommes restaient assis. Je m'assis à la droite de mon mari et Ali ...
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