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Love in Médina
Datte: 15/08/2017, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Sexe Interracial,
... faire 1000 dirhams de remise en plus si j'acceptais. J'acceptai après avoir interrogé mon mari du regard. Ali me saisit par la taille et me place au milieu du L que décrivait le banc de pierre. Les autres hommes s'étaient redressés pour mieux me mater. Ali me fit d'abord tourner sur moi, toujours en me tenant par la main. Il m'immobilisa face à l'assistance et devant les visages tendus, me saisit les deux seins de ses deux mains. Fermement, il commença à les pétrir ensemble, puis séparément. Il jetait un œil à mon mari et voyant que celui gardait son sourire, il passa derrière moi et dégrafa mon soutien gorge laissant mes petits seins libres. Mes tétons se durcirent immédiatement, ce qui provoqua un murmure de plaisir dans l'assistance. La situation commençait à m'exciter. J'étais un peu honteuse mais j'éprouvais une certaine fierté à susciter ce que je lisais dans les yeux de ces inconnus. Ali me pincat chacun de mes petits bouts durs presque à me faire mal. Je cherchais des yeux mon mari qui avait disparu de ma vue. Je l'appelai. Il me répondit que j'étais « sacrément bandante »… je souris et sursautai à peine quand la bouche d'Ali remplacat ses mains sur mes seins. J'adore qu'on me suçote les seins et ce monsieur là le faisait très bien. Je me cambrai un peu et sentit alors une main sur ma fesse. Je ne me retournai ni ne réagit. Ce que celui qui m'avait touché dut prendre pour une invite. Une autre main se posait sur le sein que Ali ne suçait pas . C'était le plus jeune de ...
... l'assistance qui avait osé. J'étais, c'est le cas de le dire, à portée de sa main. Son regard me fit fondre et je le laissai faire. Mon mari vint se glisser derrière moi et me fit avancer doucement, plus près des hommes et bientôt ce furent toutes les mains qui me couvrirent le corps. Je ne sais lequel le premier a pris l'initiative de me caresser le sexe mais cela me fit un effet dingue. Je sentis des doigts sur mon sexe à travers ma culotte que j'inondais en quelques secondes. Je m'abandonnais sous les caresses, mon mari me glissait des cochonneries à l'oreille et je finis de me décider à me laisser aller. Les mains me soulevaient presque. Personne n'avait osé mettre sa main sous ma culotte. Je compris qu'il s'agissait d'une consigne que mon mari avait glissé discrètement à Ali qui avait passé le mot. Les mots arabes fusaient. Les premiers grognements aussi. Je sentais mon clitoris gonflé. Mes lèvres gonflés et j'avais furieusement envie de jouir à force de tant de doigts sur moi. Je m'arc-boutai, me relâchait , me tendait, me tordait, cherchant à mélanger à l'infini les harmoniques des ces caresses incessantes. J'étais très tendue au bout d'une dizaine de minutes seulement. Mon mari dut le sentir car il s'approcha de moi et sans mot dire me bascula vers l'avant, m'obligeant à m'appuyer de mes mains sur les hommes assis. Il ne baissa pas ma culotte mais glissa son sexe dans mon sexe humide. Je le reçus avec bonheur laissant échapper un « ah » de soulagement qui suscita des ...