1. Promotion sur Canapé


    Datte: 16/02/2019, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    L'affaire fut rondement menée. Je n'ai pas l'habitude de perdre montemps. Il se trouvait qu'allait bientôt recommencer les migrationsestivales. Je devais notamment me coltiner pendant quinze jours la femmeet les marmots. Je goûtais moyennement ce devoir conjugal. Ajoutons àcela que ma maîtresse dans le service m'avait claqué la porte au nez.Pour être précis elle était passée avec armes et bagages chez un chefdessus moi. Ravalant ma rancœur je devais faire bonne figure devant tousceux qui se réjouirent de mon infortune. Sauf Didier.Celui-ci n'y allant pas par quatre chemins me demandait d’intercéderpour une collègue et amie. Il était notoire que tous deux mariésfricotaient ensemble. Cette amie Magalie était indéniablement un desjolis lots de notre service. Elle m'avait un jour gentiment rembarré mesignifiant de son attachement profond à son amant. Loin de m'enoffusquer je pris bien la chose. Je convins que leur liaison pouvaitmériter le respect. Je n'y décelais rien de sordide ni d'une histoire decul. Aussi ne fus-je pas peu étonné que ce Didier vint m’appeler à larescousse.Vraisemblablement Magalie avait du lui parler de ma tentative de drague.Bref Didier me savait bien disposé à l'égard de sa chère Magalie.Celle-ci pour la énième fois se voyait souffler un avancement qu’elleconvoitait depuis longtemps. Elle était à bout et prenait mal la chose.En gros elle envisageait sérieusement de demander sa mutation dans uneautre entité où elle aurait plus de chance. Didier avait peur ...
    ... qu’ellelui échappât à jamais. J'avais le bras long. J'avais notamment l'oreilled'un chef suprême. Celui qui distribue les bons points. Je pouvais toutarranger.Je méprisais un peu cet avorton de Didier. D'humeur noire je concevaismal à présent qu'il ait pu séduire et subjuguer une si belle nana.Celle-ci elle-même me renvoyait au désagrément qu'elle m'avait un jourrefusé . Avais-je le droit de les aider ? Je crus devoir m’échapper parune pirouette. Je soufflais à Didier qu'il m’envoyât sa miss. Je voulaiséprouver son degré de motivation pour la place. Je la reçus. Il faisaitchaud ce jour de juin. Une jupe courte et légère lui seyait bien. L'idéeme traversa qu’elle était autrement mieux gaulée que mon anciennemaîtresse.La Magalie n'en menait guère large. Penaude elle regardait ses piedsqu’elle avait mignons. Un instinct prédateur m'indiquait del'opportunité du moment. Le hasard divin avait amené dans mon antrecette biche. Avec une certaine muflerie je lui rappelais la circonstanceoù elle m'avait refusé un déjeuner ensemble. J'ajoutais sardoniquementque peu de ses collègues avaient dédaigné ce privilège. Je demandaiscyniquement si son ami Didier l'avait à l'époque poussé à ce refus. Elleprotesta que non. Elle dit qu'elle regrettait à présent. Ce déjeunern'avait rien que d'anodin.La fixant droit dans les yeux je lui demandais s'il était vrai qu'ellevoulut demander sa mutation et partir d'ici. Elle me le confirma aveccette fois un air bravache. Elle était manifestement à bout. D'un ...
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