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Promotion sur Canapé
Datte: 16/02/2019, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe
... tonméchant et ironique je demandais : »Ce jusqu »au point de laisser notreami Didier ? » Comprenant l'allusion et soutenant mon regard ellerépondit : « J'en prends le risque. J'ai envie d'autre chose. »Réprimant ma joie intérieure, je fis un quart de tour sur mon fauteuilaffectant de réfléchir. Il me fallait porter l'estocade et poser mesconditions.J'usais de ces termes. « Je crois autant que Didier que je serais tristeque vous partiez. Vous êtes un bon élément. J’ai trop envie de vousgarder. Je peux faire je crois quelque chose. Seriez-vous disposée cettefois à déjeuner avec moi ? » Elle sembla ne pas être surprise de maproposition. Elle l'avait sûrement anticipé. Elle sourit ajoutant : »Jevous l'ai dit tout à l’heure. Je regrette amèrement de vous avoir refusél'autre fois. Donc c'est oui ! » Je rétorquais : « A moins que Didiern'y porte son veto ? » Elle répliqua : « Il sera d'accord. Je vousl'assure. »Au cours de cette conversation, son comportement avait peu à peu évolué.Outre qu'elle m'affrontait davantage du regard, elle avait maintes foiscroisé et décroisé ses cuisses en un jeu peu anodin de séduction. Demême le battement d'une mule au bout du pied me signifiait assez unechose de l’ordre de l'excitation. Ses yeux brillaient. Quelque chosecaractéristique de la garce m'étant si familier. Je vis bien qu’ellen’avait plus rien à voir de l'oie blanche et qu’elle n’avait cure de sonDidier. Bref je pourrais la sauter facilement. Elle savait ce quevoulait dire déjeuner avec ...
... moi.Dans une semaine je serais vouée à ma seule femme que je baisaispéniblement car sans entrain. J'aurais sur la plage peu d’occasions dequelques femmes ou gamines vicieuses. Bref le séjour de vacances neserait pas la fête du sexe. Aussi escomptais-je m'en dédommager avant.J'obtins du chef suprême un coup de pouce pour la carrière de Magalie.Celui-ci était un ami. Il comprit en un clin d’œil que j’avais ventd’att****r cette fille. Il savait mon dépit récent avec la précédente.En copains solidaires, il voulut me remettre le pied à l’étrier.Le surlendemain, la petite était à mes côtés dans la voiture. Elle avaitune robe plus courte que l'autre fois. Elle s'était maquillée plus quede raison. Elle avait par trop exagéré. J'eus envie de lui dire : Celafaisait pute. Je m'en gardais et me contentais de lui caresser lacuisse. Elle se laissa faire. Nous en étions à une conversation sur sonamant Didier. J'étais résolu à savoir si elle l'aimait encore. Elle medit sans ambages qu'il la lassait. Elle m'assura qu'elle avait envied'autre chose. A un feu rouge je pus l'embrasser. Sa main me caressa àun endroit particulier.Je ne mégotais jamais sur la qualité d'un restaurant quand il s’agissaitde sauter une petite. Je n'eus pas de peine à la faire boire. Elle étaittout excitée et me caressait du pied sous la table. Je lui fis observerque nous étions entourés et que cela susciterait du scandale. En outrenous avions plus de vingt ans de différence et que je pourrais être sonpère. Elle rit ...