1. Little bite man


    Datte: 16/02/2019, Catégories: fh, ff, frousses, Collègues / Travail nympho, danser, vengeance, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour,

    ... un peu.— J’ai réfléchi.— Et ?— Et quoi… ? demandai-je innocemment, pour faire durer la plaisir.— Salaud, réponds !— Ben devine…— Salaud !— Si ça commence par des insultes pour le futur papa, je peux aussi renoncer. Latifa jaillit de son siège et se jeta sur moi. — Mais j’y mets une condition.— Laquelle ? Accordée d’avance.— Si déjà vous voulez participer à la compétition, j’exige un entraînement sévère.— Idiot ! Idiot ! Idiot ! Mais bien sûr !— Et assidu !— Assidu ? Bien sûr, si t’es assez dur…— Samedi prochain, je t’attends pour une nouvelle étude sur le terrain, c’est ton tour. Elle se serra de toutes ses forces contre moi et m’embrassa avec une reconnaissante sauvagerie. Je jure que je n’ai pas voulu la suite ! Je n’aurais jamais osé mais je ne sais pas ce qui lui prit : ma main s’égara. Latifa s’affaissa légèrement en serrant ses genoux. Ensuite, l’horreur ! Même pas foutue d’attendre samedi ! Et dans son bureau ? Impensable ! L’impensable arriva sur le champ… ooooo0000oooo Plus de deux ans ont passé. Sandra et Latifa se sont mariées il y a une année. Je ne vous raconte pas le séisme que provoqua cet événement dans la boîte. Tout le personnel fut invité à la réception. C’est le grand patron lui-même qui décida que l’entreprise prendrait en charge tous les frais sur son chapitre communication. Il tenait à marquer sa reconnaissance à Latifa pour avoir dirigé la boîte d’une main de fer durant une absence de six mois consécutive à un grave accident de voiture. Elle avait ...
    ... même ouvert de nouveaux marchés. Certaines mauvaises langues ont alors insinué que pour le patron, Latifa n’avait pas ouvert que des marchés … ooooo0000oooo Aujourd’hui est jour de fête : c’est le baptême civil de la petite Amélie. Sandra, sa maman, a souhaité que le papa d’Amélie la porte jusqu’à la table de cérémonie. Elle me l’a donc mise dans les bras. Je suis un vieux con, j’ai eu de la peine à dissimuler mon émotion. Par hasard, mon regard s’est attardé sur Latifa, ravissante dans sa toute nouvelle robe et, ce que je n’avais même pas remarqué hier au boulot, ce détail qui me frappa :« Mais… ne serait-elle pas enceinte ? » Je me rassurai immédiatement. Impossible d’en être le géniteur : j’avais à sa demande cessé depuis un moment les « entraînements » avec elle. Elle ne m’avait pas caché l’existence d’un autre « entraîneur ». Soit, mais qui ? Au cours du repas, Sandra confirma : oui, Latifa était enceinte de quatre mois. — Et le papa, tu peux me dire qui c’est ?— Eh bien, elle a touché le jackpot ! Si tu savais comme il est prévenant envers Latifa, complètement gâteux ! La crème ! D’ailleurs tu le connais, il est là.— Où ça ? Je ne vois pas.— Mais si, en face d’elle.— Quoi ? Je découvris le Patron, un monsieur bon vivant à la soixantaine joyeuse.« L’avenir de Latifa et de son futur moutard est largement assuré », me dis-je. Riche, très riche, célibataire sans charges de famille. Vivent les Seniors ! Et je réalisai soudain que le Patron et moi étions frères de queue. Deux ...