1. Little bite man


    Datte: 16/02/2019, Catégories: fh, ff, frousses, Collègues / Travail nympho, danser, vengeance, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour,

    ... plus, l’auberge louait des chambres, ce qui pourrait se révéler utile pour héberger les invités venus de loin autant que pour ceux imbibés de près. Le lendemain, Sandra m’informa qu’elle et son futur avaient retenu une table pour le dimanche suivant, afin de se faire une opinion. Je les conviai à passer chez moi ensuite, histoire de prendre un café et bavarder à bâtons rompus. J’avoue que j’étais surtout curieux de découvrir l’heureux élu. J’allais être servi ! Le carillon sonna. J’ouvris sur une surprise : un couple mal assorti, c’est le moins que l’on puisse dire. Comment cette adorable jeune femme pouvait-elle s’apparier avec cette caricature d’austérité, ce bellâtre de sacristie, ce croque-mort de bénitier ? Mais sans doute avais-je des préjugés ? Sandra me salua avec un ravissant sourire et me fit même la bise, ce à quoi je n’avais jamais eu droit au boulot ; lui me salua du bout des lèvres et du bout des doigts, l’air renfrogné. Mais de quoi souffrait-il, l’enfant du Seigneur ? À ma grande surprise, devant les tasses et les petits gâteaux, la conversation se limita à un dialogue exclusif entre Sandra et moi. Oui, la chère était bonne, le cadre agréable et spacieux, les invités seraient enchantés, etc. Oui, ils avaient arrêté une date et réservé des chambres dans la foulée. En fait, ils profitaient d’un désistement inattendu et l’hôtelier, aux anges, leur avait accordé de surcroît une honnête réduction. Elle précisa qu’eux-mêmes passeraient leur nuit de noces dans ...
    ... cet hôtel. Lui ne disait toujours rien. Je ne comprenais pas son attitude. Je la compris encore moins lorsqu’il prit la parole sur un ton revêche : — J’ai vu un 4x4 dans la cour…— Ben oui, on ne va pas le laisser dans la rue s’il y a de la place dans la cour.— On dit que les propriétaires de 4x4 ont une petite bite. Sandra pétrifiée, sourire envolé. Moi, partagé entre la stupéfaction et le fou-rire devant l’énormité du propos.« Il est givré, le gars, il a bu ? C’est quoi, son problème ? » Faut vraiment être culotté pour insulter ainsi les gens chez eux. Ou alors, cherchait-il le conflit ? Mais pour quelle raison ? Je ne le connaissais ni d’Ève ni d’Adam… Je décidai, par égard pour Sandra, de laisser filer et d’évacuer la brusque tension par la rigolade : — C’est la voiture de service de ma femme. Elle est chef de travaux dans une boîte qui construit des téléphériques. Demain matin, elle va visiter un chantier en haute montagne, à une vingtaine de kilomètres. Sandra me regarda, ébahie : elle savait que j’étais célibataire. Je lui fis un clin d’œil discret, elle plongea du nez sur sa tasse. Mais Bellâtre voulut jouer les prolongations avec une question des plus incongrues. Mal lui en prit : — Elle est pas là, votre femme ?— Non, c’est son week-end « carte blanche » ! Son copain est venu la chercher vendredi soir et la ramènera en fin d’après-midi.— Euh… pardon ? grimaça Bellâtre.— Oui, nous avons des mœurs assez libres dans nos campagnes. Nous restons attachés aux traditions ...
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